Lanceuse d’alerte du scandale de la Dépakine, mère de deux enfants touchés par le médicament, j'ai fondée l’association d'Aide aux Parents d'Enfants souffrant du Syndrome de l'Anticonvulsivant (« APESAC »). Je suis auteure du livre "Dépakine le scandale je ne pouvais pas me taire" sorti en 2017 chez1…
Robert Laffont, par ailleurs patiente experte à l'ANSM, trésorière de la Maison des lanceurs d'Alerte et membre du collège des conseillers de la revue médicale indépendante Prescrire.
Le 24 janvier dernier, l’ANSM mandatée par la DGS annonçait la réévaluation du pictogramme de femme enceinte barrée. L’APESAC avait en 2017 avec la DGS rendu obligatoire ces deux pictogrammes sur toutes les boites de médicaments parmi lesquelles la Dépakine. Cette réévaluation intervient alors qu'aucune difficulté notable de compréhension n'a été signalée par les patientes.
C’est un combat de longue haleine que je porte depuis des années, avec mon alerte sur le scandale de la Dépakine en 2011. La nécessité d’informer les femmes en âge de procréer de la toxicité des médicaments chez la femme enceinte est devenue une évidence, le combat d’une vie. Ce combat m’a permis d’aboutir en 2017 à la mise en place de pictogrammes sur les boîtes de Dépakine.
Le 24 janvier dernier, l’ANSM mandatée par la DGS annonçait la réévaluation du pictogramme de femme enceinte barrée. L’APESAC avait en 2017 avec la DGS rendu obligatoire ces deux pictogrammes sur toutes les boites de médicaments parmi lesquelles la Dépakine. Cette réévaluation intervient alors qu'aucune difficulté notable de compréhension n'a été signalée par les patientes.
Source : APESAC C’est un combat de longue haleine que je porte depuis des années, avec mon alerte sur le scandale de la Dépakine en 2011. La nécessité d’informer les femmes en âge de procréer de la toxicité des médicaments chez la femme enceinte est devenue une évidence, le combat d’une vie. Ce combat m’a permis d’aboutir en 2017 à la mise en place de pictogrammes sur les boîtes de Dépakine.