A l’instar des fragments de réalité exprimés dans les « Natures mortes » de Cézanne, j’ai tenté de saisir les bris et débris de la mémoire, de savourer l’éclosion de ces transsubstantiations et glissements de résonances du cœur même de la genèse des impressions.
« Et Lux Fuit ! » Cette étincelle qui surgit, là, des abysses des ténèbres n’est elle pas cette « Intuition » qui inspira à Michel-Ange à peindre la création au
plafond de la Sixtine ?
Tel l’Arpège diabolique de Tristan Ou l’Accord ensorcelé de Scriabine Où le temps s’évanouit dans le Temps Rappelant le mythique Ouroboros Le feu d’Aïon nourri du souffle quantique...
" Les formes en soi ne m'intéressent pas. Je me considère dans une époque pre-classique, une époque chaotique où la forme est déterminée parle germe même de la matière sonore, par conséquent elle est très différente d une œuvre à l autre et elle ne s accommode absolument pas de description logique ou linéaire. " Maurice OHANA.
Concerto pour André Bernold avec l'orchestre des abonné (e) s de Mediapart placés sous la baguette de notre participatif. Il s’agit d’offrir, au bon moment, le bon tri, la bonne sélection, la bonne idée : ce qui fait sens, éclaire, explique.
Tel l’Arpège diabolique de Tristan Ou l’Accord ensorcelé de Scriabine Où le temps s’évanouit dans le Temps Rappelant le mythique Ouroboros Le feu d’Aïon nourri du souffle quantique
Un beau matin, qui d’ailleurs flirtaillait avec midi, le gentil duo du loriot et de la mésange s’amusait à se faire peur en gazizouillant « Ze t’aiiiime mouei non plus !»
Te Deum digne d'Anton Bruckner m'est parvenu puis est parvenu à mon épouse pour célébrer l'atterrissage d'une importante somme d'argent sur ton compte bancaire comme juste compensation financière pour une très longue et très héroïque geste dans le cheminement d'une important projet architectural, commencé, en octobre 2017 ...