Cet arrêt de la Cour de Cassation rejette mon pourvoi tenté contre l'arrêt de la Chambre de l'instruction de la Cour d'Appel de Reims du 30 janvier 2014 dans l'information suivie suite à ma plainte contre les dirigeants d'OCERA-CFGA; en droite ligne du rejet de mon pourvoi relatif à l'expertise d'Alain ABERGEL (arrêt n°4488 du 28 octobre 2015 pourvoi Q14-83191F-D)
Faut-il voter une loi pour protéger les lanceurs d'alerte ou créer une agence nationale de l'alerte? C'est inutile tant que la justice restera aux ordres des politiques, des huiles aux bras longs et aux mains sales...
Le 25 octobre 2015, j'ai reçu l'avis de classement daté du 25 mars de ma plainte déposée le 25 février contre Alex PERRIN. Requérir de non-informer (pour un motif FAUX) ne peut en droit recevoir une quelconque qualification pénale...
Le rapport fait référence au procès-verbal d'audition de l'inspecteur-vérificateur: sa lecture simple permet de voir la vérité, les factures corrigées frauduleusement avaient pour conséquence de transférer des charges au CFGA; les redressements ont été maintenus avec pénalités de mauvaise foi par BERCY
La plainte d'Angelo avait été classée par le Procureur Alex PERRIN; c'est normal de classer les plaintes contre les directeurs et c'est normal de condamner les victimes qui se rebellent....L'injustice engendre la rebellion et parfois des actes terroristes, c'est normal aussi?
Et si Angelo ne s'était pas rebellé? Combien d'agressions sexuelles auraient été commises en plus par ce directeur?
Cet arrêt de la Cour de Cassation rejette mon pourvoi tenté contre l'arrêt de la Chambre de l'instruction de la Cour d'Appel de Reims du 30 janvier 2014 dans l'information suivie suite à ma plainte contre Alain ABERGEL, expert judiciaire, président de la Compagnie Nationale des Experts en Activités Commerciales et Techniques; cet arrêt avait confirmé le non-lieu rendu par le juge Joël HENNEBOIS
Les 14 et 15 novembre, à Montreuil, le salon du livre sur le lancement de l'alerte met, pour la première fois, en lien les principaux lanceurs d'alerte et leurs alliés journalistes. Organisé par un libraire, ce salon proclame : « délivrer l'alerte » c'est exercer ses droits de citoyen. Chaque attaque contre un lanceur d'alerte est une atteinte à la démocratie.