Le cerveau d'un/e personne souffrant de TSA traite les informations, les signaux, les perceptions, de manière différente des personnes dites neurotypiques. Cette personne perçoit donc le monde différemment, ce qui explique pourquoi il/elle peut agir ou communiquer de manière inhabituelle, étrange, voire incompréhensible pour l'immense majorité. A force de vouloir être "comme les autres", une personne souffrant d'un TSA, peut en outre être affectée par un burn-out chronique. Peut-être Olivier souffrait-il d'un burn-out chronique en lien avec des TSA? Ceci donnerait une explication supplémentaire au fait que je m'identifie à lui.
Parmi les autres choses qui m'affectent dans ce suicide c'est le fait que sa compagne fait tout pour l'étouffer. Elle a interdit la publication du moindre article sur Internet, ne serait-ce qu'un simple faire part. Elle dit que c'est pour éviter que leurs enfants (âgés d'une dizaine d'années) puissent en être affectés, mais ce n'est pas la seule raison à mon avis puisqu'elle s'est apparemment opposée aussi (mais sans succès cette fois) à ce que la direction de l'hôpital organise des groupes de parole pour les collègues d'Olivier.
Je continuerai à creuser cette piste, merci, Anon, de m'en avoir suggéré l'idée.
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Voir présentations succinctes ici:
https://blogs.mediapart.fr/wawa/blog/020722/autisme-et-tsa
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et ici:
https://blogs.mediapart.fr/wawa/blog/291022/propos-dun-suicide-au-travail
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