L'article d'un envoyé spécial implique que celui-ci se documente sur place. Il implique aussi qu'il mette en lumière les mensonges partiellement visibles. Et donc, cela implique que les mensonges émis par les gouvernements franceàfric de François Hollande et Nicolas Sarkozy, il les connaisse.
Le Mali à reconstruire (1): la France dispose-t-elle d'un mandat colonial ?
26 mars 2013 | Par Thomas Cantaloube
Dans une deuxième partie, on expliquera au "journaliste" qui il aurait pu interroger : à commencer par les étudiants de Bamako et de Kati qui manifestaient contre le pantin Dioncounda Traoré à qui HOLLANDEGATE a fait réécrire plusieurs fois sa demande d'intervention pour le sauver de la colère de la jeunesse face à son inaction face aux islamofascistes ou encore aller interroger les témoins survivants des crimes du 24 janvier 2012.
A moins que les accusations contre Hollande ou le MNLA ne gènent la vraie mission de ce "journaliste".
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26/03/2013, 09:51 Par Yanick Toutain
A peine je lis les premières lignes de cet article que je suis effaré par le contenu scandaleux !
Quel journaliste de New York oserait commencer, en 1915, un article sur la Caroline ou la Virginie en interviewant un ex-esclave sénile..... Sans d'ailleurs préciser d'où vient sa nostalgie et quelles étaient ses propres compromissions en tant que possible Sambo-Quimbo ?
Commencer un article sur un pays victime d'une double agression militaire - par le nord avec une attaque MNLA et Ançar Eddine dont les uns ont été financés par le Qatar - ami de la Franceàfric et les autres sont des politico-mafieux dont la Suisse a avouer qu'elle les avait financé.... - par l'interview d'un vieillard sénile nostalgique du bon vieux temps des colonies est une abjection !
Affalé dans sa chaise en plastique, confortablement installé à l’ombre du mur de sa maison, Arounata Diallo occupe ses journées à discuter. À 87 ans, malgré une audition un peu défaillante, il a des souvenirs et des expériences à partager. Selon ses voisins, il est le doyen de ce quartier du centre-ville de Bamako situé entre la gare et le musée. Quand on se penche pour lui demander son avis sur la crise que traverse son pays, il n’hésite pas un instant : « Je suis né en 1925 et sur mon acte de naissance, il est inscrit “Liberté, Égalité, Fraternité”. Avant, les Soudanais étaient les premiers, les bons élèves, les modèles, aujourd’hui les Maliens sont les derniers en tout (NDLR : le Mali s’est appelé le Soudan français jusqu’en 1960). Après le départ de la France, les pillards sont arrivés ! Nos dirigeants sont tous des brigands ! »

Arounata Diallo: « Je suis né en 1925 et sur mon acte de naissance, il est inscrit "Liberté, Egalité, Fraternité" »© Thomas Cantaloube
Parmi les Maliens de la génération d’Arounata Diallo, cette « nostalgie coloniale » est très répandue. Que ces anciens se souviennent avec bienveillance d’une métropole qui construisait des infrastructures, éduquait les gens et imposait un semblant de bonne gouvernance, et que s’effacent dans les brumes de leur mémoire la servitude, l’infantilisation et le racisme est une chose. Mais que des plus jeunes, parfois des bien plus jeunes, se tournent aujourd’hui vers l’ancienne puissance coloniale avec des espoirs et des attentes parfois irréalistes est bien plus troublant. Surtout si l’on considère que le Mali s’était éloigné de la France ces dernières décennies (voir la série publiée en 2009 par Mediapart, « Le Mali, tout un monde sans la France »).
Quel journaliste de New York oserait laisser parler quelqu'un - un probable "évolué" - qui aurait certainement des dizaines de secrets à cacher concernant son probable travail au service de l'occupation directe.
L'Afrique subit sa 4° guerre. Après l'esclavage de prélèvement, après l'esclavage sans commerce, après la gestion formoise compradore, le maître revient et va dénigrer la classe formoise africaine à qui il a confié la gestion de l'esclavage salarié.....
Mali : Pourquoi cette 4° guerre contre l'Afrique ? (après Abidjan, Bamako)
15 janvier 2013 Par Yanick Toutain
C'est donc la quatrième guerre dont est victime l'Afrique.
Après la guerre de prélèvement d'esclaves et de déportation atlantique s'ensuivit la 2° guerre contre l'Afrique.
Celle pendant laquelle les gangsters de Léopold, roi des Belges coupaient les mains des Congolais. Celle pendant laquellle , les grandes puissances faisaient partager aux Africains leurs propres rivalité ...
Dans cette guerre-là, l'esclave était devenu "l'indigène" et devait travailler sur place. La réquisition avait remplacé les chaines de l'eclavage officiel.
Cette 2° guerre de classe s'acheva quand les Algériens et les Camerounais prouvèrent qu'il était temps de laisser les "évolués" devenir les gardiens du camp...... Au détriment des paysans pauvres. La formoisie compradore se chargea de mater ses compatriotes : on vit des Houphouet et des Senghor tresser les lauriers de la Françafrique.
On voit sur le Mali fleurir des "articles" apologétiques qui viennent poser, couche à après couche, du cirage sur les pompes présidentielles de François Hollande.
Peut-on réellement croire au rôle positif" de la France au Mali ?
Peut-on s'imaginer avoir compris ce qui se passe en lisant 99% des "articles" paraissant actuellement..
Les "spécialistes" espliquent-ils correctement ce qui se passe ?
Oui..... mais si on oublie la Franceàfric et les milliards d'euros qu'elle accumule, on peut y voir un compte de fée.
Oui, si on efface le Thuraya du président ATT pour coordonner l'attaque MNLA-AnçarDine de janvier 2012, on peut croire aux fariboles du professeur de rhétorique.
Si on cache sous le tapis le financement par le Qatar des "terroristes ennemis de la France", si on dissimule toutes les vérités dérangeantes pour les comploteurs, on peut avoir une belle légende.... Et y croire....
Ces "professeusr", ces "spécialistes" font partie de ceux dont Lénine les appelait des "clowns titrés professeurs". Lui parlait de philosophie, celui-là prétend avoir des compétences encore plus larges.....
Farce !
Que tous ces menteurs commencent par vous expliquer pour quelles raisons les armes de l'armée malienne étaient bloquées à Conakry...... par la CEDEAO !!!
LA 4° GUERRE ESCLAVAGISTE CONTRE L'AFRIQUE
Sur l'ensemble du dossier , il s'agit, plus globalement, d'un changement de stratégie colonialiste.
En voici un bref résumé :
Cet article ne peut pas commencer de façon aussi abjecte sur un site comme médiapart.
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26/03/2013, 10:02 Par Yanick Toutain
en réponse au commentaire de Jean-Louis Legalery le 26/03/2013 à 08:53
Le vol de plus-value au sens néomarxiste du terme est bien plus grand dans les productions agricoles que dans le pillage des sous-sols ou du pétrole côtier.
Le travail des paysans SOCAPALM payés 50 euros par mois et menacés de mort en 2008 à Kienké dans l'unique reportage sur une grève de planteurs vaut beaucoup plus cher que ce que les statistiques truquées des néoesclavagistes ne le laissent supposer. Au sens néomarxiste, si vous exportez de l'huile de palme récoltée par des gens payés 50 euros par moi, la valeur de cette huile devra être calculée sur la base d'une valeur du travail à 1000 euros par mois..... On a donc un taux de plus-value gigantesque et inconnu à l'époque de Marx.
J'avais relaté cela dans des articles précédents
3° Car la pression de la bourgeoisie esclavagiste doit aussi être violente : en 2008, les planteurs de Bolloré se mirent en grève.
Il fallut donc menacer de mort le leader syndical. Fanny Pigeaud de Libération le rappela à l'époque ; Les Camerounais exploités des palmeraies de Bolloré
C'est un Germinal sous les tropiques qui se joue dans la palmeraie de Kienké, dans le sud-ouest du Cameroun. Dans cette plantation de palmiers à huile de 9 000 hectares de la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm) - filiale d'un groupe belge, Socfinal, lui-même détenu à près de 40 % par le français Bolloré aux côtés de son traditionnel partenaire, la famille belge Fabri -, les ouvriers sont en colère. Depuis novembre, ils ont plusieurs fois fait grève contre leurs conditions de vie et de travail. En retour, la police a arrêté et détenu pendant quelques jours leur leader, Michael Agbor.
Les esclaves de Bolloré (Kienké Cameroun, 50€/mois)© Yanick Toutain
Les Camerounais exploités des palmeraies de Bolloré11 mars 2008 à 02:39 Les esclaves de Bolloré (Kienké Cameroun, 50€/mois)© Yanick Toutain
«Une journée ne suffit pas pour décrire nos souffrances», assure Albert, un ouvrier. Depuis plusieurs années, il vit en permanence dans la palmeraie. Six jours par semaine, il coupe de lourds régimes de noix de palme. Sans gants pour protéger ses mains : ses paumes ont pris la couleur orange des noix que Socapalm transforme en huile de cuisine. Chaque matin, il s'entasse avec ses collègues et le matériel de coupe dans les camions, des épaves, qui s'enfoncent dans la plantation pour charger les régimes. Le soir, il doit marcher, parfois sur une quinzaine de kilomètres, pour rentrer dans un des sept campements d'ouvriers installés au coeur de la plantation.
«Esclaves». Le tout pour pas grand-chose : il gagne 22 francs CFA pour un régime de 15 kg. En moyenne, il touche 35 000 francs CFA (environ 53 euros) par mois, ce qui ne lui permet pas de vivre décemment. Il a néanmoins plus de chance que ceux qui coupent les régimes de 10 kg pour 8 francs CFA. «Les retenues sur nos salaires sont courantes. Nous sommes souvent payés en retard voire pas du tout», précise-t-il. Albert n'est pas affilié à la sécurité sociale et n'a pas de couverture médicale. «Beaucoup voudraient partir mais ne le peuvent pas, parce qu'ils n'en ont pas les moyens et parce qu'ils attendent qu'on paie leurs arriérés de salaire», affirme-t-il. «Nous sommes les esclaves de la Socapalm», soupire un de ses collègues. Ce n'est cependant pas auprès de l'entreprise, qui contrôle 80 % du marché de l'huile de palme au Cameroun, qu'ils peuvent se plaindre : celle-ci ne les emploie pas directement, mais a passé des contrats de sous-traitance avec une soixantaine de sociétés pour la gestion de l'essentiel de la main-d'oeuvre.
«Nous savons que les ouvriers ne s'en sortent pas, que leurs employeurs les paient en retard», reconnaît Marc Mutsaars, le patron de Socapalm. La situation est la même dans les autres plantations du pays, explique-t-il pour tempérer. Il assure que l'entreprise va réduire de moitié le nombre de sous-traitants pour mieux contrôler leurs pratiques. Cette mesure permettra-t-elle d'améliorer aussi les conditions de logement ? «Nous vivons comme des animaux», indique, dégoûté, Albert. Il n'y a pas d'eau, pas de sanitaires et seulement quelques heures d'électricité par jour dans le campement où il vit avec sa famille. Surpopulation, insalubrité et promiscuité font le reste du quotidien de ces vieilles baraques de bois grisâtre et étroites, collées les unes aux autres. Un hôpital, des écoles pour les enfants qui habitent trop loin de l'unique établissement scolaire de la plantation : Michael Agbor tient scrupuleusement la liste des réclamations depuis qu'il a été élu à la tête d'une sorte de syndicat, créé il y a quelques mois par les ouvriers.
«Notre messie». Vulgaire «agitateur» pour Socapalm, il est devenu un héros dans les campements. Ses collègues, qu'il estime au nombre de 10 000, savent que son intransigeance et sa détermination face aux entreprises sous-traitantes sont exceptionnelles dans un pays où les syndicats sont systématiquement achetés. Le lendemain de son arrestation, en décembre, certains ont marché sur 15 km, jusqu'à Kribi, où il avait été amené par la police, en scandant : «No Michael, no work!»«Nous n'avons pas peur, nous sommes tous mobilisés», commente Albert. Il raconte comment l'électricité a été coupée dans son campement lors du dernier débrayage. «Qu'ils fassent grève. Quand ils auront faim, ils reviendront travailler», leur auraient répondu les patrons.
Si tu continues, on va te tuer.»
«Michael est notre messie», avouent plusieurs salariés de Socapalm, mécontents de leurs salaires et de leurs conditions de vie. De peur des représailles, ils restent cependant à l'écart des mouvements des ouvriers. Michael Agbor a fait également profil bas pendant plusieurs jours en janvier. Après que des représentants des autorités camerounaises lui ont glissé : «Si tu continues, on va te tuer.» Il venait de refuser l'augmentation de 3 francs CFA par régime proposée par les sous-traitants. Depuis, ses collègues lui ont conseillé de ne plus travailler dans la plantation.
Le pillage des ressources minérales des sous-sols viendra en complément de cette mis en esclavage d'un continent complet.
La double attaque Qatar-Franceàfric contre le Mali s'inscrit donc dans un plan continental de réoccupation impérialiste de l'Afrique.
Bien davantage que le Mali, l'attaque Ançar Eddine et les crimes du 24 janvier 2012 avaient le Burkina Faso de Compaoré comme cible. Il s'agissait de protéger l'assassin de Sankara contre la colère de son peuple le 15 octobre 2012.
La Révolution Malienne de mars 2012 vint saboter ce plan de la bourgeoisie esclavagiste.
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26/03/2013, 10:36 Par Yanick Toutain
en réponse au commentaire de Amazone le 26/03/2013 à 10:12
Vous avez tout à fait raison, cousine.Il faut mettre en lumière qu'il s'agit -pour la bourgeoisie esclavagiste - de reprendre à la formoisie compradore les clés de la gestion des plantations et de les faire gérer par des Ouattara directement.
Il s'agit d'une 4° guerre contre l'Afrique.
Mali : Pourquoi cette 4° guerre contre l'Afrique ? (après Abidjan, Bamako)
15 janvier 2013 Par Yanick Toutain
Ils sont en train de OUATTARISER le Mali.
Et la fonction réelle de cet article abject est de nous présenter le candidat de l''ONUàfric adoubé par la Franceàfric.
Tout est dans ce passage :
"Moussa Mara est un jeune politicien malien, maire d’une commune de Bamako et candidat à l’élection présidentielle prévue pour juillet. Éduqué en France mais investi au Mali, il fait partie d’une nouvelle génération d’élus que beaucoup d’observateurs espèrent voir occuper des postes de responsabilité afin de remplacer l’ancienne élite discréditée. Lui aussi pense qu’il faut « sortir du tête-à-tête avec la France. Pour les intérêts français, il vaudrait mieux que cela soit l’ONU qui prenne très vite les choses en main. Cela éviterait toutes les accusations d’influences coloniales »."
Je suis empressé d'aller poser cette citation sur le mur de Oumar Mariko : c'est CONTRE lui, CONTRE le parti SADI, CONTRE la COPAM, CONTRE le MP22, contre TOUTE la vraie gauche malienne que cette INVASION DU MALI s'est produite le 24 janvier 2012 avec les pantins Qatar de Sarkozy. Celle de HOLLANDEGATE n'en est que la 2° offensive.
Et la 3° c'est leur ELECTION PRESIDENTIELLE TRUQUEE !
26/03/2013, 11:55 Par Yanick Toutain
en réponse au commentaire de POJ le 26/03/2013 à 10:35
Le début de votre article est tout à fait juste.... mais la fin participe à une campagne scandaleuse de défense d'un citoyen français..... quand il s'agit d'un COUPT d'ETAT FASCISTE qui met des millions d'Ivoiriens dans une prison fasciste - ce qu'est devenue la Côte d'Ivoire depuis avril 2011.
L'abjection est à son comble quand certains - tel Jean-Luc Mélenchon donnent du "président Ouattara" au putschiste mis en place par les criminels fascistes de LICORNE et de l'ONUCI..... alors que le président de la Côte d'Ivoire a pour nom "Laurent Gbagbo".
Vous faites campagne pour le FILS DU PRESIDENT IVOIRIEN LAURENT GBAGBO mis en prison et séquestré par les bourreaux de son père, le légitime élu..... dites-le....
MAIS NE FAITES PLUS DE COMMUNIQUES dans lesquels est absente la mention "PRESIDENT GBAGBO".
J'ai défendu le président Allende avant le 11 septembre 73 (j'avais commencé à militer en mars 73), j'ai défendu ses partisans en devenant un militant (très) actif des Comité Chili. Nous organisions des "6 HEURES POUR LE CHILI" etc..... Pour nous - adversaires des élections bourgeoises et partisans des néosoviets appelés coordinations - Allende était le PRESIDENT ALLENDE.... et cela ne nous gênait pas de l'écrire.
20 décembre 2012 Par Yanick Toutain (recommandé 82 fois)
Pour moi qui faisais campagne Ni Ouattara Ni Gbagbo avant les élections de 2010 et prônait le boycott, il n'y a aucune difficulté à DIRE "PRESIDENT GBAGBO" en DEFENSE de celui qui avait été élu !
Un président élu et renversé par des fascistes étrangers.
Maintenant, il s'agit de PREPARER UNE REVOLUTION en Côte d'Ivoire pour RENVERSER LA DICTATURE FASCISTE OUATTARA....
Il s'agit de METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE les bandes armées ONUCI et leurs chefs..... à commencer par le criminel fasciste CHEF DE LA POLICE ONUCI Jean-Marie Bourry qui a obtenu la COMPLICITE DE DEUX JUGES FRANCEàFRIC à Angoulême et à Bordeaux pour me faire condamner à lui payer 31 000 euros pour avoir écrit "criminel fasciste" en janvier 2011 dans article. Nous condamnerons les juges Janas du TGI d'Angoulême et Bougon de la Cour d'Appel de Bordeaux après que la révolution anticapitaliste française les aura extradés à Abidjan pour y être jugés par le Nuremberg de l'Afrique !
Nous jugerons TOUS les CRIMINELS FASCISTES et TOUS leurs complices....
Et ceux-là IRONT PURGER LEURS PEINES sur les lieux de leurs crimes..... En conséquence Sarkozy et Hollande et tous leurs complices, Obama, BanKi Moon et tous leurs complices finiront dans les geôles d'ABidjan. En compagnie de leurs marionnettes dozos, Ouattara, Soro and co
La défense de Michel Gbagbo c'est l'annonce PREVENTIVE de la SANCTION PENALE A VENIR DE TOUS LES COUPABLES......
#FreeGbagbo !!!
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Nouveau 26/03/2013, 13:27 Par Yanick Toutain
en réponse au commentaire de Amazone le 26/03/2013 à 11:35
Vous semblez ne pas avoir remarqué que cette dame Odile Tobner et l'association Survie dont elle est une des principales responsables militait contre le président Gbagbo en décembre 2010.
Communiqué 23 décembre 2010 de Survie : "Nous demandons que tout soit fait, à commencer par le retrait de l’opération Licorne au profit d’un renforcement de l’ONUCI, pour la réconciliation des Ivoiriens et non pour assurer la victoire d’un camp sur l’autre, ce qui serait lourd de menaces pour l’avenir de la Côte d’Ivoire."
SURVIE ETAIT UNE ORGANISATION QUI SOUTENAIT LES PUTSCHISTES ONUCI de BOURRY !! Juste après l'ATTAQUE CONTRE LA RTI..... Survie et donc Odile Tobner RECLAMAIENT UN RENFORCEMENT des TROUPES FASCISTES ONUCI !!!
27 décembre 2012 Par Yanick Toutain
Leur silence récent à l'encontre du putschiste Bourry et sur le juge franceàfric Janas qui truquent le droit français pour condamner ceux qui parlent à payer 31000 euros révèlent que leur AUTOCRITIQUE concernant leur attitude PRO-PUTSCH ONUCI n'était que pure hypocrisie !
Ils critiquent l'esclavage franceàfric pour le REMPLACER par un esclavage ONUàfric et la dictature des Ouattara-Soro-ONUCI-Bourry
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UN ARTICLE DU POINT
Laurent Gbagbo demande le départ de l'Onuci et de Licorne

- Publié le 18/12/2010 à 17:32
ABIDJAN (Reuters) - Le gouvernement de Laurent Gbagbo a demandé samedi le départ de Côte d'Ivoire des casques bleus de l'Onu et du contingent militaire français "Licorne".
Les Nations unies et Paris, l'ancienne puissance coloniale, avaient tous deux appelé le chef de l'Etat sortant à reconnaître sa défaite à l'élection présidentielle et à abandonner le pouvoir de son plein gré.
"Le gouvernement demande le départ de l'Onuci et de la force Licorne de Côte d'Ivoire et s'oppose au renouvellement de son mandat", a dit Jacqueline Oblé, ministre de l'Enseignement et porte-parole du gouvernement, dans une déclaration lue à la télévision nationale RTI.
Elle a ajouté: 'L'Onuci a fait preuve d'ingérence grave dans les affaires intérieures de la Côte d'Ivoire".
Depuis le second tour, le 28 novembre, de l'élection présidentielle, le premier exportateur mondial de cacao compte deux présidents: Alassane Ouattara, proclamé vainqueur par la Commission électorale indépendante et disposant du soutien de la communauté internationale et des voisins de la sous-région, et Laurent Gbagbo, déclaré élu par le Conseil constitutionnel et pouvant compter sur l'appui des chefs de l'armée.
L'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci), qui compte 10.000 casques bleus et policiers depuis la fin de la guerre civile entre 2002 et 2003, et la France, dont le dispositif militaire "Licorne" agit en soutien de l'Onu, ont invité le chef de l'Etat sortant à quitter le pouvoir.
Alassane Ouattara est retranché à l'hôtel du Golf, au bord de la lagune Ebrié, sous la protection de militaires des ex-rebelles des Forces nouvelles (FAFN) et des casques bleus de l'Onuci.
Le conflit a dégénéré ces derniers jours, notamment jeudi lorsque des partisans d'Alassane Ouattara se sont heurtés à Abidjan aux Forces de défense et de sécurité (FDS, loyales à Laurent Gbagbo). On a dénombré 20 morts au moins.
"LIBÉRER L'HÔTEL DU GOLF"
Les Etats-Unis, l'ancienne puissance coloniale française et l'Union européenne menacent de prendre des sanctions contre Laurent Gbagbo, son entourage et leurs familles s'il n'abandonne pas le pouvoir dans les jours qui viennent.
Vendredi, un haut responsable du département d'Etat américain avait déclaré à Reuters que Laurent Gbagbo s'était vu offrir l'exil dans un pays africain.
A Paris, la prudence était de mise samedi après les déclarations du camp de Laurent Gbagbo, qui, rappelle-t-on, n'est pas le président reconnu par l'ensemble de la communauté internationale.
Vendredi, Nicolas Sarkozy lui a de nouveau demandé de quitter pacifiquement le pouvoir, faute de quoi il s'exposerait à des sanctions internationales, notamment européennes, et une éventuelle traduction devant la Cour pénale internationale (CPI) selon le président français.
Les autorités françaises se rangent derrière les Nations unies, dont dépendent les mandats de l'Onuci et "Licorne", le dispositif militaire français qui compte actuellement environ 950 hommes, essentiellement à Abidjan.
Quelque 15.000 ressortissants français vivent en Côte d'Ivoire, une ancienne colonie qui a longtemps été un des plus fidèles alliés de la France en Afrique.
Samedi, le chef de file des "Jeunes Patriotes", la milice proGbagbo, a annoncé que ses hommes s'apprêtaient à marcher sur l'hôtel du Golfe pour "libérer" cet établissement devenu le QG des partisans d'Alassane Ouattara.
"J'organise effectivement un rassemblement cet après-midi dans le quartier de Yopougon pour demander aux Jeunes Patriotes de se tenir prêts à marcher sur l'hôtel du Golf pour le libérer des rebelles qui y ont trouvé refuge", a déclaré à Reuters par téléphone Charles Blé Goudé, qui est également ministre de la Jeunesse et de l'Emploi.
Avec Laure Bretton à Paris; Jean-Loup Fiévet pour le service français
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Nous entamons avec cet article une série sur le Mali, pays à reconstruire, issue d'un reportage à Bamako d'une douzaine de jours début mars. Alors que l’intervention militaire française touche sans doute à sa fin, il s’agit de rebâtir un État qui s’est effondré, alors même qu’il était fréquemment présenté comme un modèle de démocratie et de stabilité en Afrique.
Le premier volet de notre série concerne la relation avec la France, ancienne puissance coloniale.
Le deuxième volet examinera en quoi la classe politique malienne a besoin de renouvellement.
Le troisième volet se penchera sur la question de l’armée, à l’origine du coup d’État de mars 2012.
Le quatrième et dernier volet regardera l’islamisation du pays au cours des dernières décennies et l’impact des groupes islamiques armés.
Enfin, dans un entretien, Samuel Sidibe, directeur du Musée national, prend de la hauteur de vue par rapport à tous ces thèmes.
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UN DOCUMENT : la page Facebook QUAND SURVIE et Odile Tobner SOUTENAIENT LES PUTSCHISTES FASCISTES Onuci et demanait leur RENFORCMENT
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Côte d'Ivoire : la France pyromane ne doit pas jouer au pompier
Côte d'Ivoire : la France pyromane ne doit pas jouer au pompier
L'association Survie rappelle que la France porte une grande responsabilité dans la crise qui secoue la Côte d'Ivoire depuis 8 ans. Malgré ce que prétendent l'ONU et les puissances occidentales, les conditions n'étaient pas réunies pour éviter une large fraude, particulièrement au Nord du pays. La seule issue semble désormais l'apaisement entre les deux camps et non l'affirmation de la victoire de l'un sur l'autre....
Source : Survie
Published : 2010-12-23 10:57:29 GMT
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Emile Proust, Julien N'kolo Reteno et 24 autres personnes aiment ça.
Fabien Ti-Fabeça fait plaisir enfin quelqu'un qui ne choisit + un camp que l'autre !
Christian MbouendeSolution pacifique, une necessite evidente! Mais laquelle serait acceptable aux protagonistes qui leur premettra de sauver face si ce n'est celle de refaire les elections dans les zones contestees? Une seule vie humaine ne vaut-elle pas mieux que le prix de refaire les elections ou l'implementation d'une autre solution pacifique?
Sinaly DossoL'association Survie, une une structure que je respecte mais je crois que votre déclaration sur la situation socio-politique reste à désirer. Je demande à Survie de mieux s'informer avant de tenir de tels propos. J'ai eu le privilège de participer à l'organisation de ces élections en tant que Commissaire électoral donc je trouve inadmissible ces propos et si vous avez un problème avec les autorités françaises ce n'est pas le lieu indiqué de l'étaler. Ici, il y a eu élection 28 Novembre et le valeureux Peuple ivoirien a fait clairement son choix sur SEM ALASSANE D.Ouattara. Nous sommes à une phase décisive pour la survie de la DEMOCRATIE en Côte d'ivoire en Afrique. Donc il est inconcevable que le monde et en particulier la France, grande nation de democratie assiste à l'assassinat de cette noble democratie dans une l'une des ces colonies africaines. C'est nous soutenons, l'usage de la FORCE armée mondiale pour bouter hors l'ex président Laurent Gbagbo et sbires du palais présidentiel qu'ils squattent. En conclusion, l'Association Survie est tant sérieuse pour pondre une telle déclaration.
Frederic St-LaurentBravo a Survie pour ce texte courageux qui s'éloigne de la partialité des grands médias de masses serviles et des va en guerre irréfléchies.
Survie@Sinaly Dosso : si vous avez des éléments d'information susceptibles d'alimenter et de faire évoluer notre analyse, n'hésitez pas à nous les communiquer.
Yanick ToutainHONTE A VOUS !!!
Je suis certain que François Xavier Verschave cracherait moralement sur des gens qui osent écrire - dans le contexte actuel -
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La France doit procéder au retrait de son opération militaire au profit de troupes internationales sous commandement onusien.
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QUAND le Conseil de Sécurité, au MEPRIS du Conseil Constitutionnel de Côte d'Ivoire, TRANFORME LES FORCES D'INTERPOSITION EN FORCES D'OCCUPATION .... vous leur demander de RESTER OCCUPER LA CI !!!
Quand on dénonce l'AGRESSION de 2002
++++
À l’automne 2002, l’Élysée refuse l’application des accords de défense à une Côte d’Ivoire en proie à une rébellion armée approvisionnée par un pays voisin.
++++
... on en tire les conséquences..!!!
La CI est victime d'une AGRESSION
Quand on est assez lucide sur les TRICHEURS de Ouattara et de leurs amis ONUCI
cit+++
Ce 2 décembre 2010, le Conseil Constitutionnel ivoirien, essentiellement favorable à Laurent Gbagbo, constate l’expiration du délai imparti à la CEI pour annoncer les résultats provisoires. En effet, la CEI a échoué à trouver un consensus sur l’ampleur d’irrégularités dans le scrutin. Le président de la CEI Youssouf Bakayoko se rend alors au Golf Hôtel, où se trouvent déjà Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara, Guillaume Soro, le représentant du secrétaire général de l’ONU et les ambassadeurs français et américain. Ces derniers lui promettent protection jusqu’à l’aéroport, en échange de la proclamation de résultats. Bakayoko annonce la victoire de Alassane Ouattara devant les caméras occidentales. Le lendemain, le Conseil Constitutionnel annonce l’invalidation du scrutin dans sept départements de la zone contrôlée par les rebelles et la victoire de Laurent Gbagbo.
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On se servira de cette citation pour dénoncer le Conseil Constitutionnel français ESSENTIELLEMENT FAVORABLE A NICOLES SARKOZY, A LA BOURGEOISIE FRANCAISE...
Les jeunes voleurs de mobylette pourront dénoncer les tribunaux français qui sont "essentiellement favorables à la bourgeoisie française"
CONCLURE EN DEMANDANT LE RENFORCEMENT DE L'ONUCI C'EST PRONONCER LA FAILLITE MORALE DE L'ASSOCIATION SURVIE, SA FAILLITE POLITIQUE !
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Nous demandons que tout soit fait, à commencer par le retrait de l’opération Licorne au profit d’un renforcement de l’ONUCI, pour la réconciliation des Ivoiriens et non pour assurer la victoire d’un camp sur l’autre, ce qui serait lourd de menaces pour l’avenir de la Côte d’Ivoire.
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Je vous crache - SYMBOLIQUEMENT - dessus !!!!
HONTE A VOUS !
Nous demandons la LISTE DE CEUX QUI ONT REDIGE ET ET VOTER UN PAREIL TORCHON !
Nous demandons à connaitre les NOMS des AUTEURS de ce COUP de POIGNARD dans le DOS des Ivoiriens, dans le dos des Africains, dans le dos de toute l'Afrique et DONC, dans le dos de TOUS les Terriens.
NB : Je signale pour ceux qui ne connaissent pas mes écrits que je caractérise Laurent "Pétain" Gbagbo comme dirigeant politique d'une formoisie compradore et que ma position actuelle est décrite dans ce texte.
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http://revolisationactu.blogspot.com/2010/12/ni-laval-ouattara-ni-petain-gbagbo.html
Ni Laval-Ouattara, ni Pétain-Gbagbo ! Défense (sans soutien) du gouvernement Gbagbo en cas d'attaque étrangère ! Il faut d'urgence des délégués révocables ! (25 délégateurs désignent un délégué)Survie@Yanick Toutain
L'idée principale du passage que vous dénoncez est avant tout de faire retirer Licorne de la Côte d'Ivoire : c'est bien l'armée française - et non l'ONUCI - qui a autant de sang sur les mains en Côte d'Ivoire (le bilan de 2004 est lourd!).
La tendance actuelle de l'armée française est de se couvrir d'un mandat de l'ONU pour mieux rester dans les différents pays africains... mais en gardant le commandement (c'est ce que le communiqué indique en demandant un retrait français au profit d'un renforcement de l'ONUCI : que le commandement ne soit pas laissé à la France).
Par ailleurs le communiqué indique bien que ce ne serait qu'un commencement et bien d'autres choses doivent être mises en oeuvre... (sans compter que, quoi qu'on puisse en penser, le départ de l'ONU dans le contexte actuel est inenvisageable, contrairement à Licorne)
Enfin le communiqué dénonce bien les tentatives de part et d'autre pour imposer un vainqueur, ce qui couvre donc l'ensemble des pressions internationales dans ce sens.
Voici en quelques mots, à titre personnel, en tant qu'animateur de cette page, je peux vous dire rapidement.
Si vous souhaitez poursuivre un échange, merci d'adopter le ton adéquat. Le climat sur cette page doit être propice au dialogue constructif.SurviePS: j'ai oublié le plus important et le plus simple.
Appeler à "un retrait de Licorne au profit d'un renforcement de l'ONUCI" n'est pas la même chose qu'appeler à "un renforcement de l'ONUCI".Sinaly DossoJe suis disponible à fournir à Survie, toutes les infos utiles. Je m'engage sur la situation que nous vivons.
Je tiens à vous réaffirmer que j'ai la chance de participer à l'organisation de l'élection présidentielle dans mon pays donc je puis vous rassurer que la fraude qu'aurait au Nord est et reste une pure invention du camp de l'ex président qui n'étonne personne, ici. L système a été conçu tel qu'il ait pas une possibilité de fraude. Mais, là vous trouverez la mauvaise foi du camp de la Lmp.Ils se taisent sur l'introduction de la violence dans la campagne du 2ème tour de cette même élection par l'incitation à la haine à travers la diffusion des atrocités de la guerre qu'a connu le pays.
Je crois bien que 1500 FDS qui ont été déployé dans les zones CNO ont eu à faire un rapport indiquant clairement la réalité des faits et mieux les Préfets de Région représentant l'Etat ont eux aussi fait un rapport qui renforce celui des FDS . Voilà les fait réels.
Laurent Gbagbo, s'égosillait à nous rassurer sur la fin de la guerre que l'APO à traiter.
Le peuple a fait clairement un choix, rien ne peut lui ce choix fut -ils des supplétifs angolais , libériens et miliciens.
Quand l'ex président parle de la defense des institutions de la république, je vous dis que la Commission Electorale Indépendante en est une.
Il y'a eu élection après 10 de règne de Gbagbo, le Peuple a fait son choix que Gbagbo respecte notre choix, c'est aussi simple que ça.Yanick Toutain@Sinaly Dosso
Puisque vous souhaitez (vous prétendez souhaiter) la vérité, vous allez pouvoir avoir l'honneur d'expliquer les élucubrations de Bouaké
http://revolisationactu.blogspot.com/2010/12/des-farces-formoises-pour-faire-oublier.html
auxquelles je donne preuves d'existence par la copie d'un PV.
Un PV qui montre un parachutage de presque 100 000 suffrages en faveur de Ouattara.
Au cas où vous auriez des lumières, elles intéresseraient les honnêtes gens.
J'en profite pour appeler un STATISTICIEN à mener une étude sur les étranges résultats.
Pour avoir observé des résultats en France, on assiste rarement à de tels ECRASEMENTS de scores d'un des DEUX candidats du deuxième tour.
Cela donne l'impression que les pro-Gbagbo auraient été terrorisés par les ouattaristes et ne se seraient pas déplacés pour aller voter.
Rien qu'à Bouaké, oser prétendre que à Bouaké seuls 14,6 % de personnes auraient pu voter Gbabgo - en dehors même de l'absurdité du PV
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Les résultats communiqués à la CEI par ce procès verbal sont pour la ville de Bouaké :
Soit un total arithmétique de 149 598 ( or le PV donne 244 471 voix pour Ouattara, soit un différentiel de 244 471 – 149 598 = 94 873 voix en faveur de Ouattara. D’où viennent-elles ?)
+++++
http://www.flickr.com/photos/56694410@N08/5228953532/#
.... me PARAIT être un défi aux lois statistiques de la sociologie. Même à Neuilly il y a des votes pro-Besancenot et des votes Sarkozy dans les fiefs PCF.
Dans un des derniers fiefs PCF de France, Sarkozy fait, en 2007, un score de 38,44 % des suffrages exprimés (sans tricheries ouattaristes)
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/resultats-elections/PR2007/023/076/76305.html
Il faut aller à Neuilly pour voir - sur une zone significative - Sarkozy dépasser ( comme Ouattara à Bouaké) les 80 % (86,81% 2898 suffrages)
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/resultats-elections/PR2007/011/092/92051.html
Ouattara voudrait faire croire que Bouaké est son Neuilly !!!
Un statisticien pourrait faire un recensement de ces zones d'exclusion où les scores d'un des candidats sont inférieurs à 20 % ou 15 %
(sans parler des endroits où l'on voit des 5% face à des 95 !!!)Yanick Toutain@Sinaly Dosso
Je suis disponible à fournir à Survie, toutes les infos utiles. Je m'engage sur la situation que nous vivons.
(...)
Il y'a eu élection après 10 de règne de Gbagbo, le Peuple a fait son choix que Gbagbo respecte notre choix, c'est aussi simple que ça.
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Une chose m'échappe : vous parlez de dix ans de règne.
Mais, pourriez vous nous rappeler le nom de l'ancien premier ministre.
un banquier Charles Konan Banny,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Konan_Banny
N'importe quel ignare (vous pourrei donc le faire) qui irait sur Wikipédia pourrait lire ceci
http://fr.wikipedia.org/wiki/Premier_ministre_de_C%C3%B4te_d%27Ivoire
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Soro
Guillaume Kigbafori Soro (né le 8 mai 1972 à Kofiplé, sous-préfecture de Diawala, dans le département de Ferkessédougou) est un homme politique ivoirien, Premier ministre en exercice depuis le 29 mars 2007.
Soro est originaire du nord de la Côte d'Ivoire, et de religion catholique ; engagé politiquement (surnommé le Che) ou encore Bogotha, il dirige la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire[1] de 1995 à 1998 (FESCI). Il est régulièrement envoyé en prison à cette époque après des manifestations.
En décembre 1999, on le voit aux côtés de Robert Gueï après son coup d'État réussi, mais s'oppose à lui et s'allie à Alassane Ouattara lorsque celui-ci est exclu de l'élection présidentielle en 2000.
Il est secrétaire général des Forces nouvelles, le mouvement rebelle, et l'actuel secrétaire général du MPCI (Mouvement patriotique de Côte d'Ivoire). Les forces dont il est le représentant politique contrôlaient 48 % du pays à de 2002 à 2007.
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EN SOMME, VOS "DIX ANNEES" doivent déjà être réduites de TROIS ans.
Trois années pendant lesquelles un CHEF DE GUERRE qui contrôle 48% du pays devient le premier ministre.
Mais, quid des autres ?
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Seydou_Diarra
De janvier 2003 au 4 décembre 2005, il est le Premier ministre du gouvernement de réconciliation en application des accords de Marcoussis. En mai 2004, se heurtant au président Gbagbo, il fut sur le point de démissionner devant son manque de volonté d'appliquer les accords de paix.
++
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Konan_Banny
Dans la nuit du 19 au 20 août 2006, des déchets toxiques furent déversés en Côte d'Ivoire, Charles Konan Banny alors Premier ministre présente sa démission, et celle de son gouvernement dont certains membres furent indexés au Président Laurent Gbagbo. Celui-ci accepte la démission du gouvernement, mais décide de reconduire immédiatement Banny à ses fonctions de Chef du gouvernement. Banny forma donc une nouvelle équipe ministérielle le 16 septembre 2006.
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Vous êtes donc prié de CESSER DE MENTIR et de nous indiquer de QUAND A QUAND le président Gbagbo a eu la possibilité de mettre en oeuvre librement le programme formois qui est celui de SON PARTI ? LE FPI ?
Il suffit de lire
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_Affi_N%27Guessan
Pascal Affi N'Guessan
Il a rejoint le parti créé par Laurent Gbagbo, le Front populaire ivoirien, dans les années 88-89. Il a été membre de la direction nationale du Front populaire ivoirien dès 1990. Il est actuellement le président du FPI.
... et l'on comprend que son collègue du FPI a eu le "pouvoir" pendant MOINS de TROIS ANNEES !!
VOUS ETES DONC UN MENTEUR !
UN MENTEUR COMME LE MENTEUR AYMAR partisan affiché de Alassane Ouattara qui vient d'écrire
===
http://www.abidjantalk.com/forum/search.php?search_author=Aymar
Ouattara depuis le debut a voulu empecher la violence mais cela le depasse maintenant. S'il refuse de degager Gbagbo par la force, c'est à nous qu'il aura affaire. lool
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un Aymar à qui - sur le site Abidjantalk , je posais toute à l'heure, quelques questions restées sans réponses :
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http://www.abidjantalk.com/forum/viewtopic.php?t=21114&start=all&postdays=0&postorder=asc
Il faudrait qu'il nous précise DANS CE CAS :
- QUI SONT LES FORCES QUI COMMANDAIENT LES PORTEURS DE KALACHNIKOV ? (photos parues sur le Parisien)
A QUI OBEISSAIENT LES MILICIENS PUTSCHISTEs QUE L'ONT VOIT - sur la vidéo de TF1 - ATTAQUER les forces loyalistes ?
ET SURTOUT, en lisant la phrase
Citation:
S'il refuse de degager Gbagbo par la force, c'est à nous qu'il aura affaire
... Aymar doit nous dire "QUI est ce NOUS ?"SurvieBonjour à tou-te-s,
Je vous rappelle que les échanges sur cette page doivent rester respectueux. Désormais, tout message contenant des insultes, ou que - tout à fait subjectivement - l'animateur de la page jugera trop aggressif, sera effacé.Aldo RizzoLundi 27, midi, journal de France inter - lapsus de notre cher ministre Juppé qui conseille aux francais résidant en côte d'ivoire qu'il est préférable de rentrer en "METROPOLE"
Voilà, c'est histoire de "détendre" un peu le débat.
Nous demandons que tout soit fait, à commencer par le retrait de l’opération Licorne au profit d’un renforcement de l’ONUCI, pour la réconciliation des Ivoiriens et non pour assurer la victoire d’un camp sur l’autre, ce qui serait lourd de menaces pour l’avenir de la Côte d’Ivoire.
LE COMMUNIQUE DE SOUTIEN DE SURVIE EN FAVEUR DES PUTSCHISTES DE L'ONUCI
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Côte d’Ivoire : la France pyromane ne doit pas jouer au pompier
23 décembre 2010 par Survie
ThèmesCôte d’IvoireCommuniqués de presseLaurent GbagboÉlectionsAlassane Ouattara

L’association Survie rappelle que la France porte une grande responsabilité dans la crise qui secoue la Côte d’Ivoire depuis 8 ans. Malgré ce que prétendent l’ONU et les puissances occidentales, les conditions n’étaient pas réunies pour éviter une large fraude, particulièrement au Nord du pays. La seule issue semble désormais l’apaisement entre les deux camps et non l’affirmation de la victoire de l’un sur l’autre. La France doit procéder au retrait de son opération militaire au profit de troupes internationales sous commandement onusien.
Pour la première fois de leur histoire, les citoyens ivoiriens ont voté dans une élection présidentielle véritablement pluraliste et ouverte. Malgré des conditions extrêmement défavorables, la participation fut massive. Mais depuis trois semaines, la Côte d’Ivoire est séquestrée par « deux présidents ». Tandis que l’un, Laurent Gbagbo, se crispe sur son pouvoir, la « communauté internationale » est en passe d’imposer l’autre,Alassane Ouattara, aux Ivoiriens.
Pour cerner l’immense responsabilité de la diplomatie française dans l’impasse que vit actuellement la Côte d’Ivoire, il est nécessaire de poser quelques jalons historiques.
À l’automne 2002, l’Élysée refuse l’application des accords de défense à une Côte d’Ivoire en proie à une rébellion armée approvisionnée par un pays voisin. Au contraire, un cessez-le-feu est imposé, entérinant la partition du pays.
En janvier 2003, lors des accords de Marcoussis, la diplomatie française impose l’entrée des rebelles dans le gouvernement ivoirien. À Abidjan, des manifestants refusent que les portefeuilles de la Défense et de l’Intérieur soient confiés aux rebelles, comme le prévoyait l’exécutif français.
En novembre 2004, un engrenage tourne au drame. Au cours d’une offensive aérienne de l’armée ivoirienne sur les zones rebelles, neuf soldats français de l’opération Licorne et un civil américain trouvent la mort. Craignant un putsch orchestré par l’armée française après qu’elle a détruit l’aviation militaire ivoirienne, des manifestants envahissent certains quartiers d’Abidjan.L’armée française tire sur des manifestants, faisant plus de soixante morts.
Les accords de Pretoria d’avril 2005 calquent la structure de la Commission Électorale Indépendante (CEI) sur le plan de table des négociations de Marcoussis, aboutissant à une surreprésentation des rebelles, assurant aux partis d’opposition une large majorité [1]. Dans la foulée, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) est créé à Paris, réconciliant deux anciens ennemis [2], Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara, autour d’un accord électoral destiné à assurer la victoire de l’un des deux sur Laurent Gbagbo. L’Union Européenne impulse, à travers les Nations Unies, un Programme d’Appui aux Processus Électoraux dont la CEI est le principal bénéficiaire. Le descriptif de ce programme [3] laissait déjà augurer un passage en force :
« Pour les prochaines échéances électorales, il est à prévoir que le problème de confiance se posera avec une acuité encore plus grande et exigera le recours à des pouvoirs décisionnels exceptionnels pour contrecarrer l’incapacité d’atteindre des consensus politiques en temps utile. »
Début 2007, depuis Ouagadougou, Michel de Bonnecorse, chef de la cellule africaine de l’Élysée sous Jacques Chirac, annonce que la fin de la rébellion n’est pas un préalable aux élections [4]. Quelques semaines plus tard, Laurent Gbagbo, Guillaume Soro, leader de la rébellion, et Blaise Compaoré, président du Burkina, signent les accords de Ouagadougou : Guillaume Soro devient premier ministre. Fin 2007, un accord complémentaire a pour unique objet de confier à la société française Sagem Sécurité le volet technique de l’élaboration des listes électorales [5].
Ce 2 décembre 2010, le Conseil Constitutionnel ivoirien, essentiellement favorable à Laurent Gbagbo, constate l’expiration du délai imparti à la CEI pour annoncer les résultats provisoires. En effet, la CEI a échoué à trouver un consensus sur l’ampleur d’irrégularités dans le scrutin. Le président de la CEI Youssouf Bakayoko se rend alors au Golf Hôtel, où se trouvent déjà Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara, Guillaume Soro, le représentant du secrétaire général de l’ONU et les ambassadeurs français et américain. Ces derniers lui promettent protection jusqu’à l’aéroport, en échange de la proclamation de résultats. Bakayoko annonce la victoire de Alassane Ouattara devant les caméras occidentales. Le lendemain, le Conseil Constitutionnel annonce l’invalidation du scrutin dans sept départements de la zone contrôlée par les rebelles et la victoire de Laurent Gbagbo.
Prétendre organiser une élection satisfaisante sans mettre fin à la partition du pays [6] était absurde. On s’étonne qu’aucune autorité internationale ne l’ait exigé sérieusement. Malgré les énormes moyens mis en œuvre, le scrutin n’a pas offert les garanties brandies par l’ONU.
Croire que l’élection présidentielle sortirait la Côte d’Ivoire de la crise était un leurre. Aucun des candidats du second tour ne sera capable à lui seul de guérir la société ivoirienne de ses plaies. Ni Alassane Ouattara, l’économiste libéral qui a fait carrière dans les grandes institutions financières internationales, l’adepte des privatisations, des coupes dans les budgets sociaux et autres plans d’ajustement structurel, l’ami très apprécié de l’Élysée. Ni Laurent Gbagbo, le socialiste devenu rapidement allié des grands groupes français, le nationaliste souvent - et sans doute volontairement - ambigu.
Il est urgent que les initiatives d’apaisement soient privilégiées [7]. Si la « communauté internationale » a une once de bon sens, c’est dans cette voie qu’elle doit pousser les acteurs de cette crise et non dans le refus de voir la réalité et dans l’illusion qu’on peut imposer une solution de force à un pays divisé. Le risque est de plonger la Côte d’Ivoire dans la violence.
Nous demandons que tout soit fait, à commencer par le retrait de l’opération Licorne au profit d’un renforcement de l’ONUCI, pour la réconciliation des Ivoiriens et non pour assurer la victoire d’un camp sur l’autre, ce qui serait lourd de menaces pour l’avenir de la Côte d’Ivoire.
Contact presse :
Stéphanie Dubois de Prisque - Chargée de communication
stephanie.duboisdeprisque(a)survie.org
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