La jeune cinéaste russe Marusya Syroechkovskaya signe un premier long-métrage documentaire puissant, sorte de tombeau musical et cinématographique offert à son ami, disparu le 4 novembre 2016, Kirill Morev.
Dans son premier long-métrage, Ainara Vera embarque au-delà du Cercle Polaire, vers des paysages somptueux, mais qui permettent de vérifier une nouvelle fois que « Voyager n’est pas guérir son âme », à travers les trajectoires de deux sœurs… D’où deux latitudes, deux attitudes.
Le 7 juin prochain, sortira « Le Vrai du faux », nouveau long-métrage d’Armel Hostiou. Retenez cette date et soyez prêts à ne pas manquer ce documentaire hautement réjouissant, à partir d’une histoire de piratage de compte Facebook… Ou quand la réalité dépasse, et de loin, la fiction…
Le réalisateur argentin Mariano Biasin nous offre, avec Sublime, un premier long-métrage solaire et délicat sur la subtile frontière séparant l’amour de l’amitié…
Plus de vingt-cinq ans après son magnifique « La Moindre des choses » (1996), Nicolas Philibert revient vers l’univers de la psychiatrie, mais cette fois-ci embarquée, à bord d’une « Nef des Fous » amarrée au plein cœur de Paris.
Le film sera projeté le mardi 16 mai, à 20h, à L’Entrepot, en présence du réalisateur et de Linda de Zitter, dans le cadre de CinéPsy.
Premier long-métrage du réalisateur colombien Fábian Hernández, « Un Varón » impressionne par son parti pris délibéré d’un refus de la violence et offre à cette occasion un regard renouvelé sur les rues de Bogotá.
Opio, jeune garçon de treize ans, s’est de lui-même mis en quête d’un travail, afin de pouvoir contribuer à nourrir les bouches toujours plus nombreuses de sa famille. Un documentaire saisissant du jeune réalisateur Simon Panay, qui s’attache ici aux pas d’un enfant travaillant dans une mine d’or du Burkina Faso…
D’un présent suspendu entre passé et avenir… Le nouvel opus de la réalisatrice chinoise Xinyuan Zheng Lu prend la forme d’un documentaire autobiographique, poétique et esthétique…
Le 22 février prochain, sort sur nos écrans le nouveau film de la réalisatrice de « Dieu existe, son nom est Petrunya ». Sous le couvert d’un speed-dating, une plongée audacieuse dans les traumatismes de guerre, de part et d’autre.
Après le somptueux « Clara Sola » (2021), de Nathalie Álvarez Mesén, une autre pépite du cinéma costaricain, deuxième long-métrage d’Ariel Escalante Meza…