Ces derniers mois, l'opinion publique européenne a été momentanément indignée, grâce à une forte médiatisation, par le nombre des migrant-e-s mort-e-s en méditerranée. L'Union Européenne n'a su, en réponse à ce drame, qu'apporter une réponse sécuritaire par une militarisation accrue de la surveillance des frontières ainsi qu'externaliser et déléguer encore davantage les contrôles migratoires. Or depuis 2000, ce serait 22 000 mort-e-s en méditerranée.
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