Plus d’une centaine d’activistes d’Attac ont participé à déployer une banderole géante « Tax the Rich » sur la façade du futur hôtel Vuitton sur les Champs-Élysées. Cette action a fait l’objet d’une répression inacceptable avec 3 activistes placés en garde-à-vue pendant 48h. L’un d’eux a été déféré, portant à 60h la durée de sa détention pour une action symbolique sans dégradation et sans violence.
Dimanche 18 février, Bruno Le Maire a annoncé 10 milliards d'économies supplémentaires en 2024 pour réduire les déficits publics, en refusant d'augmenter les impôts. Il se pose ainsi en fidèle gardien des intérêts des plus riches et des grandes entreprises, dans la continuité de la politique fiscale d’Emmanuel Macron.
Les organisations et participant·es au meeting du 11 janvier 2024 à la Bourse du Travail de Lyon – jour du procès du commissaire Souchi responsable de la charge policière ayant failli couter la vie à Geneviève Legay – interpellent les pouvoirs publics sur la mise en œuvre de mesures urgentes et nécessaires pour en finir avec les violences policières et les atteintes aux libertés publiques.
Du 19 septembre au 5 octobre 2023, les mardis et jeudis soirs au cinéma Les 5 Caumartin (Paris, 9e), la 21e édition du festival « Images mouvementées » vous propose une sélection de films et courts-métrages suivis de débats autour des valeurs du capitalisme sur les réseaux sociaux, patriarcat, droit d'asile, écologie...
Le ministère des comptes publics vient de lancer son opération « En avoir pour mes impôts ». Son objectif : « donner aux contribuables l’opportunité de s’informer et d’exprimer leur avis sur l’utilisation qui est faite de leurs impôts ».
Les dérives autoritaires du pouvoir doivent être prises au sérieux : répression des manifestations, passage en force au Parlement, mépris des organisations syndicales, dissolutions et menaces de dissolution d'associations critiques… Une riposte populaire est heureusement en construction, initiée par les Assises populaires pour nos libertés du 15 avril à la bourse du travail de Paris.
Loin d’avoir disparu, la chanson vantant les mérites supposés de la capitalisation pour « compléter » le système par répartition reste en filigrane de toutes les réformes des retraites et resurgit ouvertement après qu’un pilonnage contre les « limites » de la répartition a été orchestré.
Le gouvernement doit présenter ce mois-ci son projet de loi sur l’immigration. Un collectif d’associations et de syndicats s’y oppose dans cet appel, car cette réforme priverait encore plus de droits les personnes étrangères en France.
Le pouvoir veut imposer une réforme des systèmes de retraites au motif que leur équilibre financier n’est pas assuré et, par ailleurs, qu’il faut améliorer le financement de certains services publics. La question du financement est donc centrale.
Avec 89 organisations internationales, Attac dénonce le financement des énergies fossiles (gaz, pétrole, charbon) à hauteur de 3800 milliards de dollars depuis 2016 et les Accords de Paris par les 60 plus grandes banques du monde.