On entend souvent dire que nous sommes uniques. Je n’en suis pas sûre. Au terme d’une vie et même avant, il est probable que nous ayons croisé la totalité des visages possibles, et donc le notre...
« De temps en temps, le psychiatre, Jean-François Rabain, vient les voir. Quand elle lui demande s’il n’existe pas un médicament qui peut la motiver à travailler, sa réponse est brève : non. Pour cela il faut que vous comptiez sur vous même... »
Je publie ici les pages des carnets de notes qui m'ont accompagnée le temps d'écrire La Trahison du Réel...
L'Union Européenne a rendez-vous avec les cybermilitants engagés dans la recherche pour la protection des données personnelles... Avant que ne soit bientôt embroché sur la flèche flambant neuve de Notre-Dame de Paris, un donut.
Je partage une expérience personnelle, car je ne connais pas d'autre moyen de dire l'abîme qui sépare les internés du monde des "vivants" quand ces derniers tentent d'accompagner un proche frappé de folie dans un monde en déliquescence ; et que la médecine comme l'ensemble de la société échouent, aujourd'hui encore, à comprendre, faute de leur donner une parole et de la diffuser.
Je partage une expérience personnelle, car je ne connais pas d'autre moyen de dire l'abîme qui sépare les internés du monde des "vivants" quand ces derniers tentent d'accompagner un proche frappé de folie dans un monde en déliquescence ; et que la médecine comme l'ensemble de la société échouent, aujourd'hui encore, à comprendre, faute de leur donner une parole et de la diffuser.
Je partage une expérience personnelle, car je ne connais pas d'autre moyen de dire l'abîme qui sépare les internés du monde des "vivants" quand ces derniers tentent d'accompagner un proche frappé de folie dans un monde en déliquescence ; et que la médecine comme l'ensemble de la société échouent, aujourd'hui encore, à comprendre, faute de leur donner une parole et de la diffuser.
Je partage une expérience personnelle, car je ne connais pas d'autre moyen de dire l'abîme qui sépare les internés du monde des "vivants" quand ces derniers tentent d'accompagner un proche frappé de folie dans un monde en déliquescence ; et que la médecine comme l'ensemble de la société échouent, aujourd'hui encore, à comprendre, faute de leur donner une parole et de la diffuser.
Quelle position adopter pour les auteurs de bandes dessinées et de romans graphiques sur la transition énergétique et la question du climat, quand l'heure est à la préoccupation de la survie de leur métier et la précarité dans le secteur du livre qu'ils dénoncent largement aujourd'hui...
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