Je me souviens vaguement d’une chanson dans une vie précédente, que j’imagine peut-être un poil niaiseuse (la chanson) mais qui disait « Ce n’est pas le danger qui tue le héros, mais la peur. »
Dans une des versions les plus fortes et réussies de Danser encore de HK, https://www.youtube.com/watch?v=GN5B27zT29Y&t=6s on peut lire en entête cet aphorisme devenu mascotte.
La peur de la mort n'empêche pas de mourir mais elle empêche de vivre.
Lorsqu'on a constamment peur du danger, c’est la peur elle-même qui devient le danger. C’est toute la différence entre la peur utile, que l’on pourrait appeler prudence et la paranoïa. La connaissance des dangers vitaux plausibles qu’on a toutes les bonnes raisons de craindre, est certes une des conditions majeures de la survie, mais la phobie de tout évènement inopiné, qui nous empêche de sortir d’urgence d’une zone de confort passive devenue œuf pourri, est a contrario une maladie mortelle.
Avec cette épidémie, dans le cadre de faits supposés, décrits, partiellement dévoilés, mais qui tous renvoient à un mode, si ce n’est un monde, secret, opaque, celui de la recherche médicale, mais aussi en parallèle, ce qui est bien plus rarement mis en avant, celui de la « recherche » militaire, on touche au plus intime de la fragilité humaine, au plus intime de l’essence de chacun, et là, ça ne rigole plus. A juste titre.
Et ça vient de loin.
Dans une hyper-société aussi complexe et productrice de signes, de langage, de mythes, de craintes mutuelles entretenues, et surtout d’artefacts machiavéliques qu’est la condition humaine dans ses soubresauts pan-historiques, écartelée aujourd’hui entre guerres chroniques, marchés insatiables et angoisses climatiques, on touche peut-être dans cet épisode délirant, aux limites de son hubris fondamental. Celles de sa frénésie de contrôle, de sa frénésie de pouvoir, dont il est facile de se rappeler qu’il s’agit pour l’essentiel d’une dimension maladive du mâle de base, et qu'il serait temps de la regarder pour ce qu’elle est, le contraire d’une puissance créative.
Parlons un instant des Lumières.
La révolution célébrée des Lumières du 18e siècle, malgré ce qu’elle va permettre comme bond en avant, au-delà de ses vues téléologiques, dans la découverte et le développement de concepts, d’ouverture à la mondialité et à la multidisciplinarité, a néanmoins opéré une césure historique, source de pertes immenses. Riche de nouvelles techniques d’investigation, d’intervention et de compréhension de l’humain et du vivant, elle s’est coupée peu à peu dans le domaine des soins médicaux, et pour beaucoup de futurs praticiens, d’un immense réseau, pas seulement européen, de connaissances savantes dans le domaine de la santé, certaines millénaires, comme l’acupuncture ou la phytothérapie.
Le médicastre de Molière n’est certainement pas la figure unique et antique d’un guérisseur qui ne serait que verbe et incompétence, et que notre durabilité bien réelle d’espèce particulière, aurait néanmoins produit au cours de l’histoire.
Dans ce domaine proprement médical - qu’il serait temps de mettre à la meilleure distance critique possible de celui de la santé, leurs relations fertiles exigeant un minimum de définition - la rupture fondamentale est intervenue avec le Français Claude Bernard (1813-1878).
Préparateur en pharmacie, disciple revendiqué de Malebranche et de Descartes, autrement dit du concept d’animal-machine, concept qu’il masquera cyniquement sous le terme oxymorique de machine-vivante, tant la conception mécanique de ses ainés annonçait déjà la contradiction absolue de ses prétentions scientifiques. Lesquelles vont consister d’abord à disloquer littéralement l’animal de laboratoire au moyen d’une frénésie de vivisections par milliers. Cette chimère virtuelle et vaine qu’incarnerait une soi-disante machine-vivante, comment pourrait-on sérieusement prétendre y observer la vie dans sa plénitude, en particulier dans ses œuvres de guérison, car si la vie folle s’y était égarée par miracle d'absurdité, quel usage pour le bien d’un animal prétendu plus évolué, l’être humain, pourrait-on en faire ?
« On n’a pu découvrir les lois de la matière brute qu’en pénétrant dans les corps ou dans les machines inertes, de même on ne pourra arriver à connaître les lois et les propriétés de la matière vivante qu’en disloquant les organismes vivants pour s’introduire dans leur milieu intérieur. Il faut donc nécessairement, après avoir disséqué sur le mort, disséquer sur le vif, pour mettre à découvert et voir fonctionner les parties intérieures ou cachées de l’organisme ; c’est à ces sortes d’opérations qu’on donne le nom de vivisections, et sans ce mode d’investigation, il n’y a pas de physiologie ni de médecine scientifique possibles : pour apprendre comment l’homme et les animaux vivent, il est indispensable d’en voir mourir un grand nombre, parce que les mécanismes de la vie ne peuvent se dévoiler et se prouver que par la connaissance des mécanismes de la mort. »
Claude Bernard Introduction à l’étude de la médecine expérimentale
Il faut imaginer à l’heure où l’on crée des variétés d’animaux génétiquement modifiés ou avec des déficiences spécifiques pour de prétendues recherches et qui de toute leur vie ne serviront que d’objet d’expérimentation, ce que ce crime permanent et organisé sous-entend. En particulier dans sa durée et son ampleur. Sur un plan éthique, c’est de l’humour pour les Monty Python : Non non, ne racontons pas bobards, on ne fait pas ça pour les animaux ! Non non non... C’est pour nous, les humains !
A défaut de participer ou d’assister à ces crimes cachés perpétuels, on peut néanmoins tenter de se représenter à l’échelle du monde, les centaines de millions de bêtes réifiées depuis des décennies, afin de correspondre aux délires de toute puissance d’un autre animal malade, l’homme. Ces millions d’être martyrs sacrifiés par an sur les paillasses des laboratoires et parfois des facultés de médecine, les deux à prétention de recherche ou d’enseignement, réitérant souvent des expériences atroces et vaines déjà faites des centaines de fois, dans le seul but de formater de jeunes chercheurs ou praticiens, pour faire quoi en réalité ? Pour les formater à quoi précisément ? A l’indifférence, au cynisme, à la vénalité et à la paresse intellectuelle, afin que dans leurs futures relations avec la recherche, avec les labos, avec les mandarins, et dans la constitution de corpus scientifiques qui n’ont, par chance, rien d’uniformes, ils sachent d’abord se comporter en bons rentiers, suivant docilement le directeur de recherche, lui-même singeant si souvent la fonction.
Claude Bernard savait-il réellement ce qu’il cherchait en découpant vivants sa vie durant, en organes et en fonctions, ces êtres sensibles, extraordinairement complexes et splendides, réduits au regard de son horizon de sabreur, à l’état de mécanismes ?
Bergson, sans rire, fit de lui le grand prêtre de la méthode expérimentale. Mais qui sait, Bergson avait peut-être raison factuellement sur ce point, et la méthode n’est-elle en fait jamais que la projection linéaire d’un monde, d’une volonté, d’un homme, qui ne sait pas encore, ou plus, ce que Démocrite ou Hippocrate ont pressenti et développé 2400 ans auparavant. Oui, la méthode n’est peut-être que ce sentier qu’on taille à la serpe dans le vivant de toute nature, parce qu’il faut bien aller quelque part quand on prétend rapporter glorieusement la proie ultime.
A ce détail près, que cette bestiole-là, toute immortelle que l’ont puisse la fantasmer, est déjà là, mais que sa taille n’est pas encore à l’ordre du jour, car à l’égal de l’infini, qu’il soit infime ou vaste.
Tailler en pièce un animal vivant au 19e siècle ressemble encore au refoulé d’un sacrifice antique désespéré offert aux dieux absents. Mais cet esprit qui se voulait méthodique, ne voit pas qu’il ne voit pas, et que jamais il ne distinguera précisément ce qui lui manque, tant l'énormité de cette vie qui l’entoure, englobe et anime tout phénomène, du plus délicat au plus monstrueux. Lesquels ne se récolteront jamais dans une bassine d’organes disloqués, car leur pleine compréhension ne peut se faire autrement que dans la plénitude de la vie.
Un de ses concepts majeurs le plus glorifié par ses thuriféraires, est le concept de milieu intérieur, nommé plus tard homéostasie par Walter Bradford Cannon, un de ses suiveurs. Claude Bernard avait noté que plusieurs fonctions d’un organisme, telle que la température interne, le taux de sucre sanguin, comme son équilibre physico-chimique global, cherchait toujours à se maintenir dans une certaine amplitude, quelle que soit la pression extérieure, afin de rester en vie.
Un enfant de 10 ans à qui l’on expliquerait les fonctions sanguines principales ou la motricité du péristaltisme dans les fonctions digestives, comprendrait très vite que même sous la torture un organisme tente de survivre en privilégiant ses fonctions vitales. A l’échelle de l’humanité, et dans les pulsions de mort qui ne cessent leur ronde au pinacle, il n’est pas sûr que ces dites fonctions vitales ne s’éternisent encore longtemps.
Aujourd’hui de nombreux chercheurs, mouvements et associations, s’insurgent contre le dévoiement et la paresse de cette fausse recherche, aussi barbare que non scientifique.
Lettre ouverte aux député-e-s
7 JUIN 2021 PAR BABETTE GRIVINCI ÉDITION : DROITS DES ANIMAUX
Le scandale scientifique le plus dangereux des temps modernes
https://blogs.mediapart.fr/edition/droits-des-animaux/article/070621/lettre-ouverte-aux-depute-e-s
Instrumentaliser, réifier, chosifier une bête vivante, pêchée de préférence à la fourrière, pour tenter de lui voler ses secrets de survie sous la torture, et cela sous le prétexte de les offrir à la communauté humaine pour son salut, incarne pleinement la version scientiste inversée la plus crétine de l’aporie chrétienne. Ben oui, c’est gratis et en plus, pris à la fourrière « ils sont très-abattus et par suite très-doux » écrit C. Bernard dans Leçons de physiologie opératoire, op. cit., p. 104.
Mais la suite est connue.
« Il est bien certain que pour les questions d’application immédiate à la pratique médicale, les expériences faites sur l’homme sont toujours les plus concluantes. Jamais personne n’a dit le contraire ; seulement, comme il n’est pas permis par les lois de la morale ni par celles de l’État, de faire sur l’homme les expériences qu’exige impérieusement l’intérêt de la science, nous proclamons bien haut l’expérimentation sur les animaux ». Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, op. cit., p. 220.
Après s’être fait la main sur toute sorte d’animaux, les médecins nazis, pour qui il était enfin permis par les lois de la morale et celles de l’Etat de faire ce qu'ils voulaient, ont trouvé en effet dans les camps de concentration et d’extermination, avec les prisonniers de l’Est et les prisonniers juifs, des modèles « plus proches de l’espèce humaine » selon leur nouvelle doxa.
Faut-il s’étonner alors du retour d’un refoulé instrumental, passées quelques décennies post atrocités nazies, dans la parfaite bonne conscience avec laquelle on traite par exemple ce différentiel azimuté dans le nombre de décès, entre les vaccins classiques (pas davantage étudiés dans leur toxicité par les agences de surveillance d'alors) et les essais génomiques dits vaccinaux, d’aujourd'hui ? (1 et 2)
Avec les progrès de la cybernétique, de l’optique, des travaux sur le génome, tous champs ou disciplines qui sont également des avancées fondamentales, les tentations réductionnistes et essentialistes ont fleuri, au moment même ou la transversalité d’approches holistes et systémiques syncrétisaient une médecine de la vie totale, une médecine de la plus grande autonomie possible pour chacun, où aucune des principales écoles thérapeutiques du monde n’était refusée a priori, comme négligeable.
La société d’opulence, post guerre mondiale, avec les profits sans contrôle des laboratoires médicaux, se pensait alors, et surtout se projetait, dans le fantasme d’un monde nouveau garanti en progrès permanents. Autant dans l’amélioration sans cesse promise des soins, que dans les bénéfices démultipliés, financiers et symboliques, que le profil du chercheur angélique en blouse blanche incarnait triomphalement, via toutes sortes de publicités, du dentifrice plus blanc que blanc, à son équivalent pour les peaux noires, en passant par les produits Born-Again virgin.
Mais voilà que d’empoisonnement environnementaux en sur-malbouffe, de maladies métaboliques en cancers multipliés, d’épuisement au travail en vampirisation télévisuelle, d’anti-dépresseurs en anxyolitiques, de neuroleptiques en benzodiazépines, et surtout de scandales en scandales sanitaires, le tapis roulant d’une réussite sociale et économique que rien ne freinait jusque là, a fini par se gripper. Depuis quelques décennies, Big Pharma, moins scandaleusement riche grâce à l’arrivée des génériques, n’ayant récemment presque rien inventé de majeur en terme d’avancées thérapeutiques, se devait de trouver une parade pour nourrir son appétit ogresque.
Dans les années soixante dix, Salvador Allende, Président socialiste chilien, et médecin, fut assassiné lors d’un coup d’Etat militaire exécuté par Pinochet et soutenu, voire organisé par les USA. Allende avait avant cela, réuni une commission médicale pour savoir quels étaient les médicaments réellement essentiels dans le monde. Cette équipe en avait alors sélectionné 20 sur 250.000 !
Même si vous jugez que c’est vraiment trop sévère, et que vous multipliez par mille…
Plus tard, la crise des anti-douleurs opioïdes en vente libre aux USA durant vingt ans, avec ses 64.000 morts en 2017, ou l’année dernière le procès retentissant gagné par Robert F. Kennedy Jr. contre le gouvernement des USA pour violation de la législation sur l’innocuité des vaccins (précédents donc...) , n’ont pas bousculés les médias français. Aujourd’hui nous savons que ces derniers sont en comma avancé. Maraboutés de l’intérieur, ils meurent de peur, parce qu’en réalité ils savent que toute cette énorme machine du Covid a multiplié la paranoïa et les moyens de contrôle des pouvoirs pyramidaux, et que sous le regard sourcilleux de leurs maîtres, ces deux expédients étant également leur fonds de commerce, celui de journalistes de salon, ils se sont rendus aussitôt, vaincus avant d'avoir tenté de résister.
Les professionnels scrupuleux, courageux et à l’esprit libre ont été centrifugés. Ils sont maintenant, soit isolés dans leur rédactions soit dispersés dans des médias plus confidentiels. En réaction, de nombreux sites, forums et plateforme numériques alternatifs ouverts aux débats, ont fleuri. A l’image du très remuant blog de Mediapart, mais encore dans un relatif désert où l’alignement des GAFA sur les puissances morbides du temps, a le seul avantage de montrer au monde futur, ce qu’il est devenu. Une proie. Le service public (et ne parlons pas de la télévision qui assume son rôle de niche canine pour l’esprit) oui, même la radio nationale est une honte absolue. France Info, il y a encore quelques mois, c'était 90 % de sujets consacrés 24/24h au Covid et dans le sens d’une campagne de pub martienne. France culture, sur ce sujet, c’est la même bouillie, France Inter idem.
Cet outil de veille et de résistance génial qu’a été la radio, est aujourd’hui en coma permanent. Quant au privé, journaux papiers compris, dont on pouvait espérer quelques interstices de débat au moins contradictoires et sérieux, il est pour l’essentiel privé aujourd’hui d’usage de son temps de cerveau disponible. L’araignée Gates est venu à temps « secourir » les quotidiens agonisants, le Monde ou Libé.
Qui a régenté cette euthanasie médiatique au long cours ? Qui ne sait, ou ne peut refuser d’en profiter, en termes de pilotage des citoyens ? Qui est aveugle au point de ne pas voir que la cité et son palais sont aux mains des barbares les plus dangereux, ceux de l’intérieur et du sommet ?
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Liens et notes
Interview du docteur David E. Martin sur l’origine synthétique du Covid-19. Interview avec Reiner Fuellmich
https://mai68.org/spip2/spip.php?article9253
Par la personne la plus habilité au monde à décoder l’écriture et sa sémiotique, des dépôts et brevets de vaccins et autres virus altérés volontairement en laboratoire. Pour deux raisons. Il est l’auteur de cette nouvelle norme d’écriture, et le plus reconnu au monde dans l’expertise de ces brevets médicaux. De gain de fonction en mises au point d’armes bactériologiques, toute la création de l’industrie pharmaceutique étasunienne, et mondial pour le civil, est passé par ses mains. Par malchance pour Big Pharma et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) l'Agence pour les projets de recherche avancée de la défense, David E. Martin est devenu lanceur d’alerte Covid, au niveau mondial. Ne vous étonnez pas de le voir peu mis en avant sur les résultats de vos recherches Google. Ce qu’il déclare à Reiner Fuellmich est peut-être l’ensemble de données le plus précis qui puisse réellement dévoiler les dessous du grand bal masqué.
En ce qui concerne l’effondrement de l’éthique et du professionnalisme de ce qu’on nomme le quatrième pouvoir, et n’y voyez pas une réponse du berger à la bergère, ce travail exemplaire ayant été réalisé avant toute censure de Médiapart, rien de mieux n’a été fait et au long cours que par Laurent Mucchielli.
La crise sanitaire a révélé l’inquiétant déclin du journalisme
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/150721/la-crise-sanitaire-revele-l-inquietant-declin-du-journalisme
15 JUIL. 2021 PAR LAURENT MUCCHIELLI
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1) En termes d’effets indésirables, d’accidents graves ou de décès dus aux essais génomiques en cours, l'argumentation standart évidemment, c’est que le lien de causalité n’est pas avéré. C’est le poème habituel. Par ailleurs, tout le monde sait aujourd’hui que les remontés d’effets indésirables à la suite des vaccinations, sont très largement déficitaires.
« Vaccin Astra Zeneca On nous rapporte un tableau censé montrer 170 morts liées au vaccin, issu de ce rapport de l'ANSM : https://ansm.sante.fr/uploads/2021/07/23/20210723-covid-19-rapport-14-vaxzevira-astrazeneca-2.pdf Voilà ce qui est écrit page 11 de ce rapport dans "Analyse et expertise des cas graves de décès" : Dans ces circonstances, il n’est pas possible de statuer sur un lien physiopathologique avec le vaccin. »
Et alors ? Quelle preuve ? C’est bien sûr, idem pour Pfizer. Une très vieille poétique qui marche assez bien avec les élèves qui apprennent tout par cœur sans y comprendre que couic. En fait, c’est une torture de classe. Mais bon, il faut bien réciter pour éviter le zéro pointé. Les autorités sanitaires se tamponnent des effets indésirables des vaccins, si la majorité récite tout bien le poème atroce. Extrêmement peu d’autopsies après décès suspect, et avec tant de millions d’apprentis poètes qui se piquent aujourd’hui d’en être, vous pensez bien qu’ils ne vont pas s’attarder sur des patients qui seraient morts un jour de toute façon, n’est-ce pas ? Ça toujours été comme ça. Alors il faudrait peut-être entreprendre de se déniaiser au fond quant à la domination de vie et de mort qu’entretient une part de la médecine avec la psyché collective, grâce à ses poèmes crétins.
Cette vieille tradition a néanmoins un avantage. Celui de la comparaison. Car s’il est impossible d’exiger, et tout autant le plus souvent d’obtenir des examens qui montreraient, en quoi telle vaccination a pu obérer la vie de quelqu’un, et à quelle hauteur, que cette personne soit désormais handicapée ou morte, il est très facile néanmoins de comparer les effets indésirables graves et les décès des campagnes précédentes, avec celle en cours. Par exemple, en Suisse :
Entre 2011 et 2019 plus de 10 millions de personnes ont reçu un des vaccins contre la grippe avec 375 effets non graves, 99 effets graves et 2 morts.
Entre le 1er janvier et le 21 juillet 2021, sur les plus de 4,5 millions de personnes qui ont reçu les bidules vaccins ARNm, on compte 2.782 effets non graves 1.537 effets graves et 128 morts.
Ce qui veut dire qu’aujourd’hui en moins de 7 mois, les vaccins ARNm contre la Covid-19 provoquent donc 146 fois plus de décès que ceux cumulés sur 9 ans, dus au vaccin contre la grippe !
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/01/les-deces-associes-aux-vaccins-anti-covid-sont-exceptionnellement-eleves-le-pasteur-hoegger-denonce-le-silence-coupable-des-autorites/#more-58131
Après ça, on peut toujours se défouler sur les mouches. Mais la messe est dite, n’est-ce pas ? C’est vrai qu’elle n’est pas en vers latin.
2) Vera Sharav, enfant juive roumaine déportée à l’âge de trois ans en camp de concentration, rescapée de la Shoah, et aujourd’hui activiste incontournable en lutte contre les abus de la médecine, en particulier dans l’instrumentalisation des enfants par l’industrie pharmaceutique, nous rappelle aujourd’hui dans un extraordinaire exposé en compagnie de Reiner Fuellmich, combien la situation présente, s’inscrit précisément dans l’héritage de ce fascisme absolu.
Entretien historique entre la rescapée de l'holocauste Vera Sharav et Reiner Fuellmich
https://odysee.com/@LeFrexit:3/entretien-historique-entre-la-rescapée:d`
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TROIS ANS APRÈS, TOUT CE QUE NOUS SUBODORIONS EMERGE ENFIN AUX USA… DES SERVEURS DE LA DARPA !
Février 2025
Covid 19, fin de partie. Aveux et preuves massives d’origine militaire.
https://blogs.mediapart.fr/cham-baya/blog/291224/covid-19-fin-de-partie-aveux-et-preuves-massives-d-origine-militaire
Quand on résiste à tant de choses obscures, il faut voyager léger avec sa lampe de poche.
On sera plus vite au bord de l’eau, à poil sous le soleil.