La mobilisation paye : Christian Estrosi ouvre l'internat du Lycée Massena et une auberge de jeunesse aux sans-abri. Mais si l'on ne va pas à leur rencontre les sans-abri n'en sauront rien et il faut organiser des maraudes couvrant l'intégralité de la ville pour les informer et les orienter.
Cannes ouvre un centre d'accueil pour sans-abri au Palais des Festivals, Montpellier ouvre deux gymnases, Toulouse deux dispensaires... Quand Nice va-t-elle réagir ? Solidarité et lutte contre la propagation du Covid-19 vont de pair.
En pleine crise sanitaire du coronavirus, le très mal nommé service d'Aide Sociale à l'Enfance des Alpes-Maritimes remet à la rue deux jeunes exilés...
J'ai hésité longtemps à vous écrire ces mots, mais j'ai pour habitude de pratiquer la transparence et, devant l'enjeu et devant le sentiment d’écœurement qui me submerge, je me suis décidé à rédiger ces quelques lignes...
Jeudi 27 février 2020, au Théâtre de la Tour Gobella à Nice, la liste Viva a présenté le volet « solidarité » de son programme municipal. En charge de la partie consacrée à la grande précarité et l’urgence sociale, voici en substance les éléments que j’ai présenté, pour faire de Nice, enfin, une ville d'hospitalité. Verbatim.
Il a suffi de l'annonce d'une nouvelle épidémie, le coronavirus, pour que tremble l'économie niçoise. Certains commencent à comprendre, enfin, les dangers de la mono-activité touristique. En réalité, Nice est à un point de bascule dans un sur-tourisme écologiquement désastreux, dangereux pour la santé publique, destructeur de notre qualité de vie et économiquement contre-productif.
Christian Estrosi tente de me réduire au silence, comme il l'a fait avec d'autres opposants avant moi, en m'attaquant en justice pour diffamation. Le prétexte ? J'ai osé parler du clientélisme et de la corruption à Nice. Eh bien oui, nous parlerons clientélisme, corruption et rétablissement d'une éthique municipale à Nice et, non, personne ne me fera taire.