Blog suivi par 6 abonnés

les carnets d'un SocioBLOGue(ur)

Sociologue du cinéma, Président de l'Université d'Avignon
Avignon - France
  • Avignon 2010 : la Culture, la jeunesse, les élites, etc.

    Par | 2 recommandés
    [Petit entretien avec le journal La Terrasse] La Terrasse : En tant qu'enseignant-chercheur, sociologue de la culture et président d'Université, comment jugez-vous l'évolution de la relationentre la culture et les jeunes ?Emmanuel Ethis : Je crois que, dans ce que nous imaginons être une société du divertissement, la plupart de nos étudiants cherchent et trouvent souvent dans la culture entendue au sens le plus large des repères identitaires fondamentaux à leur émancipation. Les études et particulièrement les études supérieures, au moment où l'on quitte le giron familial, correspondent à un moment bouillonnant de découvertes que l'on fait de manière plus autonome, mais aussi à un moment où l'on commence à prendre un plaisir certain pour défendre ce que l'on aime culturellement : conflits, débats, confrontations et partages sont au centre de la vie culturelle étudiante.
  • L'impasse créative de nos «désirs d'université»

    Par | 6 recommandés
    Ou la place inexistante de notre enseignement supérieur et de notre recherche publics dans les grands médias nationaux dits de « service public »
  • YALLA! La révolte sera bientôt là... L'année du zapping 2008 de Canal+

    Par | 7 commentaires | 5 recommandés
    Comme tous les ans, Patrick Menais et ses zappeurs nous livrent une synthèse des programmes télévisés quotidiens qu’ils ont passés au crible. Ils retiennent ce que l’on appelle dans la presse journalistique des perles, des perles bien entendues trempées de la ligne éditoriale de Canal+ qui diffuse le programme.
  • L'UNIVERSITÉ, grande absente de notre imaginaire cinématographique national

    Par | 3 commentaires | 4 recommandés
    Alors que l’on tente de mettre en œuvre une dynamique de modernisation des universités françaises, alors que l’on s’apprête à récompenser durant la cérémonie des César la fine fleur du cinéma français, force est de constater que le film de Campus est le genre absent depuis toujours de notre cinéma.