J’avoue fatiguer un chouïa d’avoir à répéter qu’Homo juchrémanensis* n’est pas une ixième dissertation sur l’ « obscurantisme religieux et mort aux curés et l’opium du peuple et pas de burka chez nous & Co».
Déjà vendredi ! Plus qu’un jour ouvrable à faire semblant de bosser, même pas pour ces bouffons d’ airtétistes qui peuvent déjà passer au grand vide culturel d’un weekend écartelé entre paris sportifs et séries Nextflip...
Salut les Juchréman(e)s ! Alors on va commencer par se poser l’éternelle question à propos de la poule et de l’œuf : céki ki l’est arrivé prems dans le Poulailler des Larmes ?
Dans la préhistoire post moderne d’une espèce incapable d’atteindre l’ « humanité » dont elle se réclame*, il n’est pas une seule horreur immonde dont les auteurs ou leurs descendants ne trouvent le moyen de s’ auto congratuler, sur l’instant et/ou aux siècles des siècles, allant jusqu’à exiger de leur progéniture qu’elle en apprenne par cœur le lieu et la date.
Hier ou avant-hier, à Jérusalem ou pas loin, lors de la matérialisation miraculeuse du dictateur US sur les lieux de sa complicité de génocide, le prédant de la Knesset est tombé en pâmoison devant lui, disant de cette grosse marionnette peroxydée à la solde du Big Money Worldwide que, quelque chose dans son regard lui rappelait Cyrus le Grand...
Chassez la culture juchrémane, elle revient au galop. Au galop des « Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon » chargeant les hordes islamo gauchistes de Saladin.