La reconnaissance par un nombre croissant de pays d’une entité hypothétique appelée « État de Palestine » est positive en termes d’impact symbolique. Mais dans les conditions présentes, ce ne saurait être plus qu’une version renouvelée de la vaste prison dans laquelle l’État sioniste confine le peuple palestinien dans les territoires occupés en 1967.
Tandis que ce projet semble dérivé de l’imagination d’adeptes de la « théorie du complot », il est loin d’être une fiction et est plus proche de sa réalisation que jamais auparavant.
« Le libéralisme atlantiste ne se relèvera jamais de sa présente agonie. » Traduit de l'anglais, un entretien avec Labour Hub, un site de la gauche du parti travailliste britannique, au sujet de mon ouvrage « Gaza, génocide annoncé. Un tournant dans l'histoire mondiale » (La Dispute, Paris, 2025)
Malgré toutes les preuves du contraire, trop de commentateurs dans les médias internationaux continuent de dépeindre Donald Trump comme désireux d’obtenir un règlement pacifique de la guerre en cours dans la bande de Gaza. En vérité, les rapports officieux sur les divergences entre les deux hommes sont, au mieux, de fausses rumeurs qui leur conviennent à l’un et à l’autre.
Qu'est-ce qui pousse les mouvements néofascistes à remettre en question, à des degrés divers, la réalité du changement climatique, ou du moins son rapport avec le comportement humain ?
Un tel comportement timoré invite les agresseurs à redoubler de pression et à renouveler leur agression, confiants que Téhéran n’osera pas mettre à exécution ses menaces.
L’une des maximes les plus célèbres au sujet des révolutions est attribuée à Louis Antoine de Saint-Just (1767-1794) : « Ceux qui font des révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau ». Cette maxime s’applique également aux conflits armés...
Les dirigeants des gouvernements libéraux occidentaux ont attendu un an et demi après le début de la guerre génocidaire menée par l’armée sioniste contre le peuple de Gaza avant de protester timidement contre le zèle de l’État d’Israël à commettre ce massacre odieux.