La cybersécurité classique, réactive, est en échec contre le sophisme numérique. Le modèle \mathbf{RES} \leftrightarrow \mathbf{RAG} propose un changement de physique : la sécurité est un équilibre thermodynamique. Toute faille devient un coût quantifiable au sens de Wasserstein. Il est temps de passer de la réaction à la stabilité structurelle.
L'hallucination n'est pas un bug, mais l'échec structurel des IA statistiques. Le modèle \mathbf{RES} \leftrightarrow \mathbf{RAG} dénonce cette erreur ontologique : privilégier le plausible sur le vrai. Inspirée de Platon et de l'éthique de Kierkegaard, notre architecture est la seule voie vers une Intelligence Authentique, capable de minimiser son coût de non-cohérence (\mathbf{W_{2}^{2}}).
La cybersécurité classique, réactive, est en échec contre le sophisme numérique. Le modèle \mathbf{RES} \leftrightarrow \mathbf{RAG} propose un changement de physique : la sécurité est un équilibre thermodynamique. Toute faille devient un coût quantifiable au sens de Wasserstein. Il est temps de passer de la réaction à la stabilité structurelle.
Thèse : Cette faiblesse se manifeste par la création d'un sophisme sémantique, conséquence directe de la primauté de la statistique sur la logique formelle, menant inéluctablement à l'hallucination.
L'hypothèse du non-algorithmique de la conscience (Penrose, Gödel) remet en question la suffisance de l'approche Turing classique pour l'Intelligence Artificielle Générale (IAG).
Par Jean-Charles Tassan, Philosophe des sciences et praticien en IA
La question de la conscience, qu'elle soit humaine ou artificielle, est intrinsèquement liée à la cohérence de notre expérience. Comment le sujet individuel parvient-il à construire un sens unifié à partir du flux chaotique d’informations ?