
Kemeth BOUR
Étudiant en Journalisme (Prépa) et Histoire Européenne (M1)
Paris (75) - France
Sa biographie
Curieux et passionné, j’ai embrassé le journalisme très jeune, un choix confirmé après des études d’histoire à la Sorbonne, où j’ai appris rigueur et méthode. Mes débuts chez Libération puis à RMC Info Talk Sport / BFM TV ont forgé mon goût de l'information. Animer des émissions, inventer des formats1…
et créer du lien avec le public sont devenus ma passion.
À Cerfia, média digital et jeune d'information, j’ai piloté la communauté pendant trois ans, publiant sur X, Instagram et le web. Formé à la photographie par la photographe Marie Rouge, j’y ai développé une expérience solide et un style visuel qui m’est propre.
Sportif endurant (semi-marathon, boxe), je puise dans cette discipline la persévérance et l’esprit d’équipe essentiels en rédaction. Bilingue et polyvalent, je fais de ce blog un laboratoire d’idées mêlant journalisme, avis personnels et récits de vie.
Son blog
- 2 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 0 contact
Ses billets de blog
Voir tous-
Quand les algorithmes fabriquent la haine des femmes
Marche féministe organisée par le collectif féministe NousToutes.org à Paris, le 26 novembre 2023. © Marie Rouge
À 18 ans, Timothy G. regardait des heures de contenus masculiniste sur TikTok avant de projeter une attaque. Son cas n'est pas isolé, en France, les discours antiféministes se propagent à une vitesse alarmante chez les jeunes hommes, nourris par des algorithmes et des influenceurs... comment des garçons ordinaires basculent-ils dans l'idéologie masculiniste ? Et surtout, comment les en préserver ? -
Quand le métro étiquette les corps racisés
Un passager vu de dos se fait fouiller par un agent de la RATP dans une station de métro. © Kemeth BOUR
Dans le labyrinthe du métro parisien, chacun passe son ticket Navigo sans y penser. Sauf moi. Métisse. Je suis arrêté avant chaque portique, sommé d’ouvrir mon sac, de subir une fouille expéditive. À Nation, ce rituel survient jusqu’à vingt fois par mois. Un profilage esthétique et racial qui finit par peser sur chaque trajet, chaque respiration, chaque regard.