Minga est une organisation d’acteurs professionnels et citoyens engagés dans la production d’une économie de proximité et de qualité, au niveau local comme international.
Ensemble, dans la diversité1…
de leurs métiers, de leurs activités et de leurs statuts, les membres de Minga posent la question du travail, des solidarités et des droits à renforcer pour l’articuler aux questions sociales, écologiques et démocratiques de notre temps.
Leurs divers engagements ont pour commune ligne d’horizon l’article 23 de la déclaration universelle des droits de l’Homme :
Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
La proposition de vente, sur le site « le bon coin », d’une « Micro ferme verger en permaculture » de 2,6 hectares, sans logement, à Edern, dans le Finistère, a de quoi faire bondir : selon les données de la SAFER, 200 000 euros, c’est 16 fois le prix moyen de l’hectare ! Non à la « ruée vers l’or vert ».
La ferme de Coat Keroec, est une ferme de 12 hectares à Tréméoc dans le Finistère. Elle représente l’une des rares fermes paysannes encore en activité qui ont résisté au rouleau compresseur de l’industrialisation de l’agriculture en Bretagne pour maintenir une production alimentaire de qualité distribuée en vente directe au marché de Quimper.
Pour faire que toutes les agricultures soient biologiques, la lutte et l’initiative, ça marche ensemble. Solidarité avec le collectif « Bretagne contre les fermes-usines » et ses militant·es
Depuis la fermeture du cinéma « la clef » en 2018, la Clef Revival, un groupe de travailleur.euse.s du cinéma et d’habitant.e.s a décidé d’occuper ce lieu emblématique du quartier latin parisien, pour poursuivre son activité de diffusion et rencontres cinématographiques.
La hausse du prix de l’énergie et de denrées alimentaires, couplée à des ruptures d’approvisionnement (bois de construction, composants électroniques, etc.), est une réalité bien concrète dans la vie quotidienne de bon nombre d’entre nous.