Confiné avec des milliers de réfugiés, nous avons suivi six réfugié-es de mars à sept. 2020 dans le plus grand bidonville d'Europe, ancien camp de Moria à Lesbos. Quand l’Europe se confine, les réfugiés se sentent totalement abandonnés. Leur colère explose, mais rien n’y fait. Ce sont les grands oubliés de la crise du COVID-19. En septembre, l’enfer est réduit en cendres.
À l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés (20 juin), l'UNESCO fait la lumière sur la force, le courage et la résilience des migrants et des réfugiés dans leur quête d'une vie meilleure. A travers l'exposition photo « Waiting » (Attendre), le photojournaliste afghan Mortaza Behboudi présente des histoires de demandeurs d'asile en attente d’une décision sur leur statut.
Forcés à prendre les chemins de l’exil, le temps s’est figé pour ces professionnels de l’information. Le voyage immobile qu’ils ont entamé à travers l’incertitude du lendemain leur semble interminable. En attente de papiers, d’un statut, d’un titre, d’entretiens, de nouvelles de la famille ou d’informer à nouveau… La liste est longue de tout ce que l’exil a mis entre parenthèse.
En Libye, un véritable « marché aux esclaves » a été mis en place, vendant les migrants aux enchères. L'indignation est la, mais les actions concrètes pour y mettre fin, manquent.
Écrivains, cinéastes, musiciens, plasticiens, etc., Membres de la Coalition internationale des Artistes pour l'Histoire Générale de l'Afrique de l'UNESCO, s'invitent à la Colonie le mardi 31 Octobre 2017 de 19h à 21h15.
Le vendredi 8 septembre à 18h15, l’association Bobine du Monde va organiser une soirée de lancement de cette association. Il y aura sa première production, le film « France Terre d’Amour », qui aura lieu à l'Auditorium de l’Hôtel de ville de Paris.