Depuis l'arrestation du PDG de Telegram ce samedi 24 août, les médias qui en parlent qualifient systématiquement Telegram de “messagerie cryptée”. C'est complètement faux, Telegram n'est PAS une messagerie sécurisée. Et c'est un véritable problème que cette désinformation soit ainsi propagée, pour plusieurs raisons…
Discours fictif, que l'on aurait pu entendre de Mélenchon, Tondelier, Faure, et Roussel, au soir des résultats du second tour des législatives. Discours qui n'a malheureusement pas été celui des dirigeant·es du NFP, qui se sont contenté·es de crier victoire, alors que la bataille ne fait que commencer, et que c'était le moment de galvaniser leurs bases militantes pour les luttes à venir.
Suite aux résultats du premier tour des législatives, nous voilà face à l'inéluctable choix entre la social-démocratie du Nouveau Front populaire et le libéralisme-autoritaire fascisant du RN. Le macronisme, c'est-à-dire un néolibéralisme débridé incapable de la moindre subtilité dans sa gestion du système capitaliste, est en bout de course. Nous voilà au pied du mur, au fond de son impasse.
Je suis communiste libertaire. Je suis syndicaliste révolutionnaire. Mon mot d'ordre, c'est le pragmatisme. Ma stratégie révolutionnaire ne passe donc pas par les urnes ni les institutions en place : les structures sont toujours plus puissantes que les individus. Pourtant, je vais soutenir de toutes mes forces le Nouveau Front populaire pour les trois semaines à venir.
Nous, personnels BIATSS et enseignant·e·s de l’Université Paris 8, réuni·e·s le 3 mai 2018 en Assemblée générale, nous prononçons contre la loi ORE, contre la casse des universités et celle du service public en général. Nous posons un ultimatum : si la loi ORE n'est pas retirée, nous n'assurerons pas la rentrée 2018-2019.
Je suis maître de conférences en informatique à l'Université Paris 8 – Vincennes à Saint-Denis. Depuis le 30 janvier, des locaux des deuxième et troisième étages du bâtiment A de notre université sont occupés par des exilé·e·s et leur comité de soutien. Le département informatique se situe au premier étage de ce même bâtiment, je vois donc d'assez près ce qui se déroule depuis mardi dernier.