Le 18.07.20, presque 4 ans après l'homicide d'Adama Traoré par les gendarmes Uhrin, Fontaine et Gonzales par plaquage ventral, une foule se rassemble devant le commissariat de Persan pour une marche commémorative pour Adama et toutes les autres victimes de violences policières. Celle-ci ira jusqu'au quartier de Boyenval où vit la famille Traoré.
Le 18.07.20, presque 4 ans après l'homicide d'Adama Traoré par les gendarmes Uhrin, Fontaine et Gonzales par plaquage ventral, une foule se rassemble devant le commissariat de Persan pour une marche commémorative pour Adama et toutes les autres victimes de violences policières. Celle-ci ira jusqu'au quartier de Boyenval où vit la famille Traoré.
Le 18.07.20, presque 4 ans après l'homicide d'Adama Traoré par les gendarmes Uhrin, Fontaine et Gonzales par plaquage ventral, une foule se rassemble devant le commissariat de Persan pour une marche commémorative pour Adama et toutes les autres victimes de violences policières. Celle-ci ira jusqu'au quartier de Boyenval où vit la famille Traoré.
Le 10.02.20, à l'initiative du comité féministe Paris 1 et d'autres collectifs féministes intersectionnels, un rassemblement en mixité devant l'Hôtel de Ville s'organise contre le remaniement du gouvernement faisant de Gérald Darmanin, accusé de viols, ministre de l'intérieur et Eric Dupont Moretti, défenseur du harcèlement de rue notoire, ministre de la Justice.
Le 04.07.20, une Marche des Fiertés non déclarée s'organise et un cortège racisé.e en non-mixité vient prendre la tête de la manifestation et en indiquer les couleurs : la Pride 2020 a été politique, intersectionnelle et radicale.
06.07.20, une trentaine de personnes viennent se rassembler devant l'EPHAD Emile Gérard à Livry-Gargan en soutien à deux aides soignantes qui sont convoquées pour entretien préalable à une sanction disciplinaire pour avoir dénoncé les dysfonctionnements de l'EPHAD durant la crise sanitaire du COVID-19 et avoir été prise en photo avec un masque FFP2 donné par les Brigades de Solidarité Populaire.
Le 11.06.20, les Rosies d'Attac viennent en bleu de travail rejoindre les soignantes de l'hôpital Robert Debré et rappeler avec leur chanson et chorégraphie "première de Corvée" que la précarisation et les violences administratives contre lesquelles s'organisent les protestations touchent particulièrement les femmes et viennent se rajouter à d'autres oppressions déjà subies.
Le 4 Juillet 2020, une trentaine de Gilet Jaune se réunissent vers Oberkampf à Paris et se dirigent vers Nation, suivi.es d'un cortège d'une centaine de policiers et d'une quinzaine de photographes. Les commerçant.es et riverain.es assistent curieusement à ce défilé déséquilibré et bruyant.
Le 16.06.20, usager.es et professionnel.les du monde de la Santé Publique se réunissent pour protester contre le Ségur et la précarisation des soignant.es. Le dispositif policier perturbe le déroulement conventionnel du trajet déclaré et des affrontements éclatent. En marge de ces derniers, une infirmière se fait interpeller après avoir lancé quelques pierres sur un cordon des forces de l'ordre.
Le 20.06.20, un défilé de milliers de sans-papiers et de manifestant.es solidaires foulent le pavé des boulevards de Nation à Stalingrad. Tous.tes revendiquent : la fermeture des CRA, des logements et la régularisation pour tous.tes.
Le 10.02.20, à l'initiative du comité féministe Paris 1 et d'autres collectifs féministes intersectionnels, un rassemblement en mixité devant l'Hôtel de Ville s'organise contre le remaniement du gouvernement faisant de Gérald Darmanin, accusé de viols, ministre de l'intérieur et Eric Dupont Moretti, défenseur du harcèlement de rue notoire, ministre de la Justice.
Le 04.07.20, une Marche des Fiertés non déclarée s'organise et un cortège racisé.e en non-mixité vient prendre la tête de la manifestation et en indiquer les couleurs : la Pride 2020 a été politique, intersectionnelle et radicale.
06.07.20, une trentaine de personnes viennent se rassembler devant l'EPHAD Emile Gérard à Livry-Gargan en soutien à deux aides soignantes qui sont convoquées pour entretien préalable à une sanction disciplinaire pour avoir dénoncé les dysfonctionnements de l'EPHAD durant la crise sanitaire du COVID-19 et avoir été prise en photo avec un masque FFP2 donné par les Brigades de Solidarité Populaire.
Le 11.06.20, les Rosies d'Attac viennent en bleu de travail rejoindre les soignantes de l'hôpital Robert Debré et rappeler avec leur chanson et chorégraphie "première de Corvée" que la précarisation et les violences administratives contre lesquelles s'organisent les protestations touchent particulièrement les femmes et viennent se rajouter à d'autres oppressions déjà subies.
Le 4 Juillet 2020, une trentaine de Gilet Jaune se réunissent vers Oberkampf à Paris et se dirigent vers Nation, suivi.es d'un cortège d'une centaine de policiers et d'une quinzaine de photographes. Les commerçant.es et riverain.es assistent curieusement à ce défilé déséquilibré et bruyant.
Le 16.06.20, usager.es et professionnel.les du monde de la Santé Publique se réunissent pour protester contre le Ségur et la précarisation des soignant.es. Le dispositif policier perturbe le déroulement conventionnel du trajet déclaré et des affrontements éclatent. En marge de ces derniers, une infirmière se fait interpeller après avoir lancé quelques pierres sur un cordon des forces de l'ordre.
Le 20.06.20, un défilé de milliers de sans-papiers et de manifestant.es solidaires foulent le pavé des boulevards de Nation à Stalingrad. Tous.tes revendiquent : la fermeture des CRA, des logements et la régularisation pour tous.tes.