SoundCloud, autrefois sanctuaire des artistes indépendants, vient de franchir une ligne rouge. Sans tambour ni trompette, la plateforme a modifié ses conditions d’utilisation pour s’octroyer le droit d’exploiter les créations audio de ses utilisateurs afin d’entraîner des intelligences artificielles.
Depuis des années, les dirigeants des grandes entreprises tech annoncent à grand renfort de communiqués de presse que l’intelligence artificielle va révolutionner la manière dont les marques atteignent leurs clients. Chez Meta, ce n’est pas une promesse en l'air.
Il y a fort à parier que vous ignoriez jusqu’à récemment l’existence de Truth+, le service de streaming estampillé Trump Media and Technology Group. Pourtant, derrière l’étiquette ronflante du mot “technologie” se cache un catalogue qui ferait passer les vidéos de chat pour du grand art.
Il fut un temps où les décisions de vie ou de mort passaient par des analyses rigoureuses, des services de renseignement de haut vol, et une conscience diplomatique (ou du moins un semblant de responsabilité). Mais dans l’Amérique de 2025, il semble qu’un tweet mal informé suffit à déclencher un raid aérien.
Chaque jour, des milliers de travailleurs anonymes s’enferment devant leur écran pour scruter la face la plus sombre d’Internet. Leur mission ? Déceler les vidéos de décapitations, les discours de haine, les images d’abus sur mineurs et tout autre contenu insoutenable.
WhatsApp vient d'annoncer en grande pompe une nouvelle fonctionnalité baptisée « Private Processing », destinée à intégrer des fonctions d’intelligence artificielle tout en promettant de préserver votre confidentialité.