Début 2024, « Le Parisien » publiait un article intitulé « La vérité, c’est que quand il y a des morts, on ne fait pas remonter » : aux urgences, l’heure du déballage ». Une « l’épreuve dans l’épreuve » que ma compagne Julie et moi avons dû affronter au début de l’année 2025, après la mort in utero de notre fille Léonore à 32 semaines de grossesse, aux Hospices civils de Lyon.
Pourquoi je demande à Madame Stéphanie RIST, Ministre de la santé, de saisir l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) du dossier de la mort in utero de notre fille Léonore, survenue le 16 janvier 2025, quelques jours avant le début du 8ème mois de grossesse.
Le 09/07/25, Mediapart publiait un bel article relatant le drame que ma compagne Julie et moi avons vécu début 2025 : la mort in utero de notre fille Léonore à la fin du 7ème mois de grossesse, à la suite d'un accident et d'une prise en charge catastrophique aux urgences d'un hôpital lyonnais. Le 15/10/25, je suis revenu sur le déroulement de ce drame en témoignant sur BFM Lyon.
Pourquoi je demande à Madame Stéphanie RIST, Ministre de la santé, de saisir l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) du dossier de la mort in utero de notre fille Léonore, survenue le 16 janvier 2025, quelques jours avant le début du 8ème mois de grossesse.
Le 09/07/25, Mediapart publiait un bel article relatant le drame que ma compagne Julie et moi avons vécu début 2025 : la mort in utero de notre fille Léonore à la fin du 7ème mois de grossesse, à la suite d'un accident et d'une prise en charge catastrophique aux urgences d'un hôpital lyonnais. Le 15/10/25, je suis revenu sur le déroulement de ce drame en témoignant sur BFM Lyon.