Née à Paris en 1998, Sara Mychkine est poète-sse, écrivaine, performeure et chercheuse indépendante.
Auteure de deux recueils de poésie La plaie de l'aube (Blast, 2024) et L'éthé (Frison-Roche Belles Lettres, 2022) et d'un premier roman De minuit à minuit (Le Bruit du Monde, 2023), publiée dans diverses1…
revues (CENSORED, DÉBRIDÉ, DO-Kre-I-S, DUNE MAGAZINE...), elle*iel déploie des langues incandescentes dont visions et lignes de fuite prennent racines dans des mondes éco*afroféministes, queer et décoloniaux.
Travaillant la poésie comme fusion de brèches et de cosmogonies, son oeuvre tisse, à l'écriture, performances, collages et vidéos, comme des portes ouvertes vers l'exploration sensorielle de mémoires-en-relation, de la trace vive des luttes et des mouvements matriciels des rêves.
Diplômée de l'Ecole du Louvre, elle*iel a notamment collaboré avec AWARE et rédige La Poétique de l'oeuvre, chronique d'une histoire de l'art féministe, philosophique et décoloniale publiée dans le média HIYA.
Suite à la publication de la tribune refusant Sylvain Tesson comme parrain du Printemps des Poètes, une levée de bouclier a envahi l'espace médiatique. Le coeur de la polémique a pris l’accent d’une pseudo-défense de la liberté d'expression. Cette défense apparaît comme une simple distraction du point soulevé par la tribune : la banalisation de l'extrême droite par le biais du champ culturel.