Il y a cinquante-trois ans, le 21 avril 1967, des chars s’élançaient dans les rues d’Athènes et prenaient le contrôle des points stratégiques de la capitale. En fait, plutôt qu’une rupture, la dictature des colonels était l’aboutissement d’une longue séquence contre-révolutionnaire dont les racines plongent dans les années de la guerre civile qui a déchiré le pays entre 1944 et 1949.
Une choix d'analyses éclairant de l'intérieur les raisons de la défaite du parti travailliste dirigé par Jeremy Corbyn. Les textes sont traduits et introduits par Stathis Kouvélakis. Mis en ligne sur le site de la revue Contretemps: http://www.contretemps.eu/grande-bretagne-corbyn-defaite/
Ce texte est l'introduction de mon ouvrage La critique défaite. Emergence et domestication de la Théorie critique, Paris, Amsterdam, 2019. 535 pages, 25 euros - en librairie le 18 octobre 2019
Ce texte ne porte pas sur les « populismes de gauche » qui se sont réclamés des thèses d’Ernesto Laclau mais sur le contenu théorique de celles-ci, en proposant une déconstruction de la rationalité de la politique théorisée par Laclau sous le terme de « populisme ».
Une discussion avec François Boulo, figure du mouvement des Gilets Jaunes à Rouen, qui sert d'émission de lancement de "Quartier Général", le nouveau média dirigé par Aude Lancelin, qui coordonne la discussion.
Un débat avec Alexis Cukier (philosophe, EReNSEP France), Stathis Kouvélakis (philosophe, EReNSEP, Grèce et Royaume-Uni), Nathan Legrand (CADTM Belgique), Catherine Samary (économiste, Attac France, NPA) et Patrick Saurin (CADTM, France) sur le Manifeste du réseau ReCommons Europe "Pour un nouvel internationalisme des peuples en Europe"
Le débat a lieu le 25 mai 2019 au Lieu dit, Paris 20e
Claque électorale pour Alexis Tsipras et son gouvernement, droite victorieuse, résurgence de l'extrême-droite sous un nouveau visage, discrédit de la gauche. Le scénario bien connu se confirme une fois de plus: les reniements de la gauche ouvrent la voie à une droite revancharde, sur fond de démoralisation et de rejet de la politique.
Après sa participation au Mediapart Live à Commercy, Stathis Kouvélakis, professeur en théorie politique et militant de la gauche radicale grecque, a retravaillé son analyse du mouvement des «gilets jaunes». Il livre ici le résultat d'une mise à l'épreuve de ses premières hypothèses.
Après sa participation au Mediapart Live à Commercy, Stathis Kouvélakis, professeur en théorie politique et militant de la gauche radicale grecque, a retravaillé son analyse du mouvement des «gilets jaunes». Il livre ici le résultat d'une mise à l'épreuve de ses premières hypothèses.
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