Si Nicolas Hulot a claqué la porte, ce n’est pas à cause des chasseurs, ni même du glyphosate. C’est bien pire et c’est soigneusement planqué sous les enfumages genre Benalla, Aquarius, cambriolage légal chez Mélenchon. Il s’agit de la relance massive du nucléaire ! Une décision d’une extrême gravité qui sera, comme d’habitude, prise sans consultation de la population.
« Je fais confiance à la justice de mon pays ». On entend cette antienne proférée, la main sur le cœur, par chaque personnage politique ayant maille à partir avec la justice. Mais pas par Mélenchon ! A-t-il tort de ruer dans les brancards ? Pas sûr. Pas sûr du tout, même.
Décidément, ils ne se camouflent même plus : « ils » placent sans mollir au gouvernement des envoyés des lobbies des multinationales parmi les plus polluantes. Pas étonnant que tonton Hulot ai foutu le camp…
Je viens d’entendre dans les machines à bruits que le « cadeau » de Jeff Koons à la France – son œuvre « Le bouquet de tulipes » - serait finalement installé dans les jardins du Petit palais. À quelques encablures de l’ambassade des États-Unis d’Amérique. En signe ainsi d’allégeance, de vassalité à ce pays.
Cette fois, ce sont les grosses soudures des tuyauteries principales d’évacuation de la vapeur du réacteur qui sont mises en cause par l’ASN (autorité de sûreté nucléaire), le gendarme du nucléaire.