Le temps fort de la IV° session de l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) sera sans conteste, l'accueil de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne jeudi prochain au Palais de l'Europe à Strasbourg.
« Selon que vous serez puissant ou misérable Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »On aimerait que le District Attorney, Cyrus Vance, ait connaissance de notre La Fontaine, et de la morale conclusive de cette superbe fable « Les animaux malades de la peste ». Rappelez vous !
Le Conseil de l'Europe avait pris l'initiative d'inviter, à sa sixième Université dété de la Démocratie, le ministre tunisien délégué auprès du premier ministre, Rafâa Ben Achour, chargé de prononcer la «leçon inaugurale» lors de l'ouverture de la session, lundi dernier (20/6). Le thème très opportun cette année était «Ethique et Politique» dans la pratique politique, les médias et le monde des affaires.
Les élections du dimanche 12 juin en Turquie ont été «démocratiques, bien menées et empreintes de pluralisme». C'est le constat d'une mission d'observation composée de plus de 70 membres dont 61 parlementaires de l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) et du COE (Conseil de l'Europe), tous parlementaires nationaux. Mais la suite est moins réjouissante. On peut y lire en effet : «Il reste nécessaire de renforcer les libertés fondamentales».
La troisième session plénière de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, à Strasbourg, comportait en annexe de ses préoccupations essentielles, l'examen des dossiers de candidatures de très éminents juristes, à un poste de juge à la Cour européenne des Droits de l'Homme (CEDH).
« Les Journées de Strasbourg (100 idées pourla France) » organisées ce week-end par le Nouvel Observateur et Terra Nova, avec plus d'une soixantaine de rencontres de très haut niveau, compte tenu de la qualité des invités: politiques de tous bords, plus souvent de gauche cependant, universitaires, journalistes vedettes, experts reconnus... dans des lieux divers répartis au centre ville.
«Gauche, droite, gauche droite...», des élus de tout rang, de Strasbourg, d'Alsace, de France et d'Europe, marchent au pas sur le sentier de la riposte à l'offensive indigne des profanateurs des traités européens, lancée par une maigre mais redoutable escouade de députés, commandée par des représentants du Royaume-Uni, avec pour commandant le conservateur britannique Ashley Fox et des voisins du nord, résolument eurosceptiques de surcroît.