La foire d'Art contemporain de Strasbourg peut dresser un bilan 2015 globalement satisfaisant, même si les organisateurs peuvent et doivent mieux faire l'an prochain.
En Alsace c’est la réforme territoriale contestée qui accouche de ce monstre hybride, le fédéralautonomisme. Un néologisme aussi audacieux que la posture est surréaliste. On pourrait l’appeler « Unser Land im Europabund » soit « notre pays dans la fédération européenne ».
Il n’y pas à Strasbourg que les institutions européennes, ni le marché de Noël. Deux opportunités culturelles réjouissantes en un jour prouvent son imprégnation culturelle française, européenne et originale.
La société civile par Lam Echaml ou « Réseau des Associations Citoyennes » tient à se manifester. La Tunisie, chouchou des Français dans le Maghreb a été durement frappée à deux reprises en trois mois : 59 touristes étrangers y ont péri (21 au musée du Bardo près de Tunis en mars, 38 à Sousse le 26 juin dernier).
C’est l’été et la saison des festivals. Celui de Strasbourg, plus ancien festival de musique classique de France, créé en 1932, a déposé son bilan en 2014. Requiem ! Et maintenant ? Revenir à un projet magnifique celui du compositeur Jean-louis Agobet jadis rejeté pour des raisons pécuniaires ? Magnificat ?
A la session parlementaire d’été au Conseil de l’Europe (COE) à Strasbourg, comme d’habitude, les parlementaires nationaux délégués par leurs collègues dans les 47 Etats membres, examinent avec une étonnante ardeur les comportements des contrevenants, avérés ou suspectés, à leurs engagements pris lorsde leur adhésion.