« Terrorisme, Réfugiés, Union , Droits de l’Homme», l’antienne est inlassablement ressassée au Conseil de l’Europe (CoE de 47 membres) comme au Parlement Européen des 28 d’ailleurs, parfois mezzo voce par certains délégués nationaux à l’Assemblée Parlementaire, cette semaine en deuxième partie de la session ordinaire 2016, à Strasbourg.
Microcosme, cosme et macrocosme : du siège du député rendu vacant pour raison de santé aux supputations de l’incidence de la politique nationale, à son tour « impactée » par la politique européenne… et plus loin, tout en abysses.
Si ce n’était pas trop triste, on aurait pu chanter « Shame et scandal in the family des eurodéputés français »( vieille chanson populaire drôle, reprise par Sacha Distel et Dalida en français).
L’Association des Parlementaires Européens (APE) avait convié ses membres à un dîner- débat polyglotte où le français finalement n’a guère été pratiqué si ce n’est par des parlementaires italiens.
Bien que disposant de la Pharmacopée Européenne , Institution située à quelques dizaines de mètres, le Conseil de l’Europe (COE) ne peut ni enrayer ni même soulager le mal qui se propage à travers l’Europe des 47 Etats qu’il réunit pour le meilleur et le pire, pour la démocratie, la paix par le respect des Droits de l’Homme et de l’Etat de Droit.
Bien que disposant de la Pharmacopée Européenne , Institution située à quelques dizaines de mètres, le Conseil de l’Europe (COE) ne peut ni enrayer ni même soulager le mal qui se propage à travers l’Europe des 47 Etats qu’il réunit pour le meilleur et le pire, pour la démocratie, la paix par le respect des Droits de l’Homme et de l’Etat de Droit.
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Elles n’ont pas besoin de faire des manifestations tonitruantes pour trouver enfin une considération presque comparable à celle de leurs collègues masculins : c'est Eurimages qui s’en charge, par une mesure à la fois préventive et incitatrice.
« La diversité en marche » est le titre de cette édition 2015 du Gala National qui vient de se tenir à Strasbourg. Et ça marche fort dans une atmosphère très élégante imprégnée de cette classe innée, propre aux femmes, où la détermination le dispute à la distinction. Le charme agit bien mieux que la violence.
En cause en premier lieu les résultats, évidemment. On a titré « L’ombre du FN sur la Grande Région » (ACAL) dans les DNA. Oui, sombre nuage sur les urnes sauf pour les premiers placés qui jubilent. On doit les comprendre mais si on avait écrit « Flash éblouissant du FN sur l’ACAL » on aurait suggéré plus astucieusement le côté éphémère du premier tour pour être en mesure d’écrire lundi prochain