Une semaine, Greta Thunberg, visage mondialement connu de la lutte contre le réchauffement climatique, fait l’objet d’attaques scandaleuses de hauts dirigeants européens. L’autre, Extinction Rébellion, le mouvement social écologiste de désobéissance civile non violente, est accusé de tous les maux par les mêmes rangs.
Une semaine, Greta Thunberg, visage mondialement connu de la lutte contre le réchauffement climatique, fait l’objet d’attaques scandaleuses de hauts dirigeants européens. L’autre, Extinction Rébellion, le mouvement social écologiste de désobéissance civile non violente, est accusé de tous les maux par les mêmes rangs.
Une semaine, Greta Thunberg, visage mondialement connu de la lutte contre le réchauffement climatique, fait l’objet d’attaques scandaleuses de hauts dirigeants européens. L’autre, Extinction Rébellion, le mouvement social écologiste de désobéissance civile non violente, est accusé de tous les maux par les mêmes rangs.
Avant d'aller plus loin dans les ressorts criminels de la crise des subprimes, rappelons que le meilleur moyen de dévaliser une banque est de la diriger comme l'explique l'ex-régulateur américain William Black : c'est ce qu'on appelle la fraude patronale. En voici la recette.
A l'occasion de "l'anniversaire" de la crise des Subprimes, revenons cet été sur un facteur souvent minimisé de la crise : la criminalité en col blanc ou comment un système financier dérégulé a rendu possible le développement massif des pires pratiques criminelles de prédation jusqu'à conduire à la crise.