Avec ses mémoires, Joe Jacobs nous entraîne dans les quartiers pauvres de la capitale où le prolétariat juif résista du mieux qu’il put à la montée du fascisme ; un fascisme qui avait les trait de Sir Oswald Mosley...
Avec son ouvrage, "Robespierre. Une vie révolutionnaire", l’historien Peter McPhee nous éclaire sur la vie d’une des personnalités les plus controversées de l’histoire nationale.
Avant d’être un spécialiste du syndicalisme hexagonal, Jean-Marie Pernot fut responsable syndical. Il connaît donc le syndicalisme de l’intérieur. Avec son dernier livre, il dresse un bilan peu enthousiasmant de la situation.
Sept ans avant la Révolution espagnole, des drapeaux noirs flottèrent sur une terre inhospitalière. Emilio Crisi nous en dit plus avec son livre « Révolution anarchiste en Mandchourie (1929-1932) » publié par les éditions Noir et rouge.
Qui était vraiment le Général Boulanger ? Comment qualifier le Boulangisme ? Ce sont à ces deux questions que répond l’historien Bertrand Joly dans son livre publié par CNRS Editions.
Des services publics déliquescents, une population vieillissante, des emplois rares et peu rémunérateurs… La campagne se mourrait-elle ? Contre cette peinture peu enthousiasmante, il faut lire l’ouvrage de Sophie Orange et Fanny Renard : « Des femmes qui tiennent la campagne » (La Dispute).
« Le travail demeure le grand absent des campagnes de prévention [du cancer] ». Ces mots de l’historienne et sociologue Anne Marchand illustrent bien un terrible paradoxe : chaque année, des dizaines de milliers de personnes se découvrent victimes d’un cancer lié a priori à leur passé de travailleur, et pourtant, les campagnes se focalisent sur l’alcool, le tabac et l’alimentation.
Piaget. Non pas Jean le psychologue-pédagogue, mais Charles, l’ouvrier horloger. C’est à ce militant, icône furtive du syndicalisme de l’immédiat post-1968 que s’est intéressé Théo Roumier dans une courte brochure rassemblant une interview et une intervention publique du syndicaliste bisontin, toutes deux de l’automne 1974.
Avec son livre, le journaliste Michael Pauron nous entraîne dans les lieux feutrés où la France, pays des droits de l’homme et des mille fromages, s’efforce de poursuivre sa mission civilisatrice sur le continent noir avec comme têtes de gondole Bolloré, Areva, la DGSE et l’Armée.
Depuis une poignée d’années, les espoirs révolutionnaires de certains se situent dans le Nord de la Syrie, dans une région appelée Rojava. Là-bas, le mouvement révolutionnaire kurde s’efforce de mettre en place le confédéralisme révolutionnaire, une nouvelle doctrine imaginée par son leader, Abdullah Ocalan, qui a abandonné le marxisme-léninisme pour une pensée nourrie d’apports libertaires.