Il se définit lui-même comme "payé par nos impôts", aussi l'avons-nous rencontré autour de son nouveau livre "Le roi n'avait pas ri", à la librairie Le pied à terre, à Paris.
Autoportrait de la France des périphéries avec Edouard Zambeaux et les participant.e.s aux ateliers d'écrire la Zone d'expression prioritaire et la régie des quartiers.
Roman noir et sauvagerie, une grande histoire. Par la violence, bien sûr, mais également par les remises en questions sociales et sociétales qu'il génère. Rencontres avec Hervé Le Corre et un direct avec la maison d'édition indépendante La Manufacture de Livres.
Cette année, chaque participant.e au Salon d'Expression Populaire et de Critique Sociale a répondu à quelques questions. Autant de portraits sauvages plutôt que des portraits robots qui permettent de découvrir les auteurs.trices, éditeurs.trices indépendant.e.s, membres de l'équipe, techniciens.nes... sous un angle inattendu, décalé, ludique.
Violence sociale, violence d'état, violence systémique : la violence est partout, franche, tapie, prête à surgir surtout là où elle n'est pas désirée et encore moins nécessaire. Avant de plonger dans un débat public autour de la question des violences en manifestations, rencontre avec Beata Umubyeyi Mairesse, écrivaine franco-rwandaise, lauréate du Prix des 5 Continents de la Francophonie 2020.
On en parle beaucoup, à juste titre, de la mondialisation, de ses effets destructeurs, de ses mécanismes et de son expansion permanente. Nous avons choisi d'aborder la question via la bande-dessinée, avec Isabelle Bensidoun et son livre "La folle histoire de la mondialisation" publié aux Arènes et également avec les éditions Ça&Là, maison française spécialisée dans la traduction de BD européennes.
"Dessiner encore", mais comment ? Quoi ? Pour qui ? Des questions qui prennent un sens particulier lorsqu'elles sont posées à Coco, survivante des attentats contre Charlie Hebdo en 2015. Coco, qui a réalisé l'affiche de l'édition 2021 du Salon d'Expression populaire et de Critique Sociale.