Chroniques d'Europe centrale

Dès le 25 février, c’est-à-dire au lendemain de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, l’ensemble de la rédaction du Courrier d’Europe centrale s’est mobilisée pour documenter les conséquences politiques, sociales et humaines du conflit.

Petit tour d’horizon de ce qu’a réalisé en Hongrie le national-populiste Viktor Orbán, héros des extrêmes droites du monde occidental et modèle de Marine Le Pen.

Le Courrier d’Europe centrale vous invite à participer, mercredi 30 mars à 18h30, à un webinaire consacré aux enjeux des élections législatives qui se déroulent ce dimanche 3 avril en Hongrie.

[Rediffusion] « Chère gauche occidentale, on ne vous demande pas d’aimer l’OTAN mais la Russie n’est pas l’acteur menacé et en danger ici. » Dans cette tribune, des membres du parti politique polonais de gauche Razem (Ensemble) interpellent les gauches occidentales sur leur position vis-à-vis du conflit entre la Russie et l’Ukraine.

Dans cette tribune publiée sur Le Courrier d'Europe centrale, Gábor Eröss, sociologue et maire adjoint du 8e arrondissement de Budapest, interpelle le président français Emmanuel Macron avant sa rencontre avec Viktor Orbán le 13 décembre à Budapest.

En cette rentrée de septembre, « Le Courrier d’Europe centrale » vous propose un site internet avec une interface améliorée qui vous permettra d’accéder plus facilement à nos différents contenus. Jusqu'au 10 octobre, l’abonnement annuel est à moitié prix : 25 € au lieu de 50 € !

La révolution bélarusse souffle sa première bougie. Un an après le simulacre d’élection présidentielle remporté par Alexandre Loukachenko, « Le Courrier d’Europe centrale » s’est entretenu avec Svetlana Tsikhanovskaïa, figure de proue en exil de l’opposition. « J’ai fait tout ce que j’ai pu », nous dit-elle.

«Qui aurait pensé, il y a 33 ans, lorsque nous avons fondé le parti, qu’avec le temps, un seul homme monopoliserait d’abord le parti et ensuite tout le pays ?». A l’occasion du 33e anniversaire du Fidesz, fondée le 30 mars 1988, József Kardos, l’un de ses 37 membres fondateurs, publie un brûlot contre ce parti qu’il a quitté depuis.

Depuis plusieurs années désormais, la « mafia du bois » en Roumanie fait parler d’elle. À l’automne 2019, l’assassinat de deux gardes forestiers a mis en lumière les méthodes criminelles des trafiquants de bois dont les atteintes à la biodiversité étaient jusque-là perpétrées dans une relative impunité.