Nous sommes une organisation qui se construit en toute indépendance et en toute liberté, résolument anticapitaliste, internationaliste, antibureaucratique et démocratique. Un parti au service de toute1
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la population laborieuse et pauvre et de ses besoins immédiats, vitaux et fondamentaux. Un parti de femmes et d’hommes libres qui s’inscrit dans la continuité du combat séculaire pour libérer l’humanité des chaînes de l’exploitation et du joug de l’oppression.
La Commune - Pour un parti des travailleurs - membre du courant international Mouvement Socialiste des Travailleurs ( IVe Internationale)
Les événements qui se sont précipités en Catalogne ont suscité en France un profond scepticisme dans certains milieux militants et engagés. Certains, partant du principe que « les travailleurs n’ont pas de patrie » en ont tiré la conclusion que c’était un affrontement entre politiciens bourgeois se servant du peuple comme marge de manœuvre pour des intérêts étrangers à l’intérêt ouvrier de classe,
Dans la première partie de ce dossier, nous avons vu comment Mailly s’est « macronisé » très rapidement et comment le bureau confédéral FO s’est dressé contre toute la confédération, au compte des ordonnances. Nous avons vu comment Martinez et Mailly ont mis sous l’éteignoir l’exigence minimale de l’abrogation de la loi El Khomri.
Sans surprise, les ordonnances qui renforcent la nce sont passées, quasiment comme une lettre à la Poste. Sans coup férir ! Le mérite n’en revient pourtant pas à Macron, son chef de camp Philippe et son aide de camp Pénicaud. Deux jours plus tard, l’opposant de sa majesté en une posture gaullienne clame : « la bataille ne fait que commencer ». Retour sur un combat qui n’a pas été mené.
Depuis hier, la Catalogne est exposée à un Coup d’Etat du gouvernement de la Monarchie espagnole héritée de Franco.
Le but de ce coup d’Etat qui ne dit pas son nom est d’empêcher la tenue d’un référendum vers l’indépendance, prévu le 1eroctobre prochain. 70% des catalans veulent pouvoir décider librement de leur avenir.
Macron ne cherche pas simplement à « faire des réformes », il entend initier une véritable contre-révolution politique, sociale, économique, culturelle qui, si elle aboutissait, conduirait au fascisme pur et simple. Par conséquent, c’est lui ou nous.
Dans la vie de tous les jours, la question des salaires est vitale. Depuis 1945, dans toutes les corporations, elle est liée au coût de la vie, aux besoins et à la qualification professionnelle. Les gouvernements successifs, au moins depuis 1982 n’ont eu de cesse d’attaquer les bases mêmes du salaire.
Le 12 septembre approche. Chacun sait que cette journée ne fera pas céder le gouvernement. Mais, pour de nombreux salariés, jeunes et syndicalistes, elle n’est pas sans enjeu.
Il y a deux ans, le Parti ouvrier Indépendant vertébré par le Courant Communiste Internationaliste se scindait en deux organisations rivales. Le CCI issu de l’OCI (puis PCI) était la composante-clé de ce qu’il est convenu d’appeler le mouvement trotskyste en France. La composante dite lambertiste, du nom de son dirigeant historique Pierre Boussel dit Lambert (1920 – 2007).
Nous publions, en annexe à cette lettre un tract du POid sur le Venezuela qui considère que le gouvernement de Maduro est légitime, en s’appuyant sur une déclaration dont le PT brésilien est signataire.
Macron a donc décidé de prélever 5 euros à tous les allocataires de l’APL. Il ne cache pas que cette mesure est la première pierre d’une réforme de cette allocation que touchent les familles qui vivent en dessous du seuil officiel de la pauvreté et les étudiants.