Espace de contestation et de provocation pour faire vivre l'insoumission contre les chants de sirènes des toutologues, de publicistes qui forment les PME (Politiques, les Médias, Experts) de la pensée1…
indigente.
Au nom d'un double standard caractérisé tantôt par l'imposture et l'insignifiance, tantôt par les défaillances et l'assistance, la diplomatie internationale œuvre outrageusement à précariser Haïti avec la complicité des groupes locaux dominants. Cela crée une turbulence dans l'écosystème social haïtien, une singularité anthropologique en constante déformation qu’on pourrait appeler le Big Gang.
La corruption et l’impunité font errer la justice haïtienne. Dans le creux de leur résurgence, le crime pénètre, escroque les justiciables, viole et altère l’intégrité des dossiers judiciaires. Malgré les innovations célébrées, la justice reste défaillante et laisse les crimes impunis par le constat des preuves impossibles. Ironie judiciaire qui donne à l’affaire Dorval le sceau du crime parfait.
Le premier acte d'une fouille en trois étapes pour expliciter les causes de l'errance et des défaillances du système judiciaire haïtien. Ici nous analysons le management de ce processus de défaillance.
Haïti ne peut plus vivre dans la posture victimaire du complot contre l’intelligence. Si des forces contraires la maintiennent sur une trajectoire défaillante, il faut avouer qu’elles sont supportées par ceux qui, ayant le savoir, préfèrent le confort d’une réussite précaire à l'engagement éthique pour se sublimer et éclairer la voie vers la sortie du gouffre pour la transformation intelligente.
Contre les faux semblants de l’État de droit, je donne écho des errances haïtiennes ; non pour attirer la pitié du monde, mais pour révéler ses impostures. Les errances d'un collectif sont souvent des processus programmés dans le cycle de renforcement de ses institutions. Mettre à nu leur boucle de résurgence peut être une vraie démarche algorithmique pour l’engagement militant.
Tandis que l'Europe se reconfine, Haïti s’engouffre un peu plus sous la virulence d'une diplomatie d'escroquerie dont les traits crapules sont dissimulés par les caricaturistes, plus adeptes d’une liberté de masques et d'impostures que de vérité et de justice. Indigné, je me laisse gagner par l'injonction de la liberté de caricaturer pour faire un doigt d’honneur à la bienpensante liberté.
La simulation épidémiologique est un outil d'aide à la décision qui s'accompagne d'une intelligence analytique dont toute défaillance invalide la méthodologie et hypothèque les résultats. Cette déficience a un potentiel déstructurant apte à transformer toute simulation produite aux fins de politique sanitaire en une stratégie improbable faisant office de dissimulation pratique maitrisée !
Qui dénoncera les profits découlant des défaillances qui rythment la survie dans un shithole au temps du confinement généralisé ? Qui dira les mille paradoxes entourant la réussite des bien-pensants aux confins d’un shithole ? Qui révèlera les complicités dont jouissent les réseaux de criminalité pour toujours triompher ? Une tribune pour provoquer, déranger et inciter à déconstruire l'indigence.
Sans base factuelle argumentée, sans perspective réaliste intégrant la médecine traditionnelle comme piste stratégique de thérapie préventive, les recommandations du comité scientifique haïtien chargé de la riposte stratégique face au COVID19 ressemblent davantage aux échos d'une catastrophe virale espérée. Voici l'acte 1 d'une tribune pour relever les défaillances de cette communication.
Décrypter les non-dits entre un éditorialiste et un infectiologue autour du COVID19 en Haïti. Par saison de contagion, une telle affiche fait saliver. Hélas, cela se passe dans un shithole : le signifiant potentiel du chercheur devient insignifiant éclatant dans l'impensé médiatique. L’horrible laideur des shitholes recèle de paradoxes qui livrent des enseignements utiles pour les déconstruire.