Pierre Sassier

Sa biographie
Cursus universitaire : doctorat en médecine de l'université de Paris (1972) ; doctorat en biologie (PhD) de l'université de Montréal (Canada) (1978) A travaillé comme conseiller médical chez Coultronics, devenu Beckman-Coulter, de 1982 à 2003. Secrétaire du Comité d'Entreprise, puis délégué syndical1 CGT de 1996 à 2003 Trésorier de l'Union Locale CGT de Paris Nord 2 de 2003 à 2018. Milite actuellement dans trois associations : le Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), l'association de défense du Val d'Oise contre les nuisances aériennes (ADVOCNAR), l'association Rousseau à Montmorency (ARAM)
Son blog
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  • cité scolaire ou boulevard du Parisis : même folie, même combat

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    Il n'y a pas de différence de nature entre les décibels présents venant du trafic aérien et les décibels futurs liés à la circulation sur le BIP. Et les problèmes sanitaires sont les mêmes, en particulier les troubles de la scolarité sur lesquels cet article se focalise.
  • Le refus de l'aérien de participer à l'effort climatique

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    Ce qui provoque un rejet de l'aviation dans une large fraction de l'opinion, c'est le fait que le secteur refuse obstinément de prendre sa part dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les récentes prises de position devant les mesures envisagées par le Gouvernement pour redonner de la couleur au train confirment ce refus.
  • Peut-on réduire les nuisances sonores sans pénaliser l'aérien ?

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    Ce sont quatre propositions exprimées par Valérie Pécresse (présidente de la région Ile de France) et Olivier Blond (conseiller régional) pour "réduire les nuisances aériennes sans pénalise l'aérien" (en pièce jointe).
  • Les paradoxes de la gestion de l'eau

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    L'empreinte de l'ère anthropocène est une géologie perturbée par les activités humaines. Cette constatation concerne également la gestion de l'eau, dont la raréfaction est à attribuer à une utilisation démesurée par les activités humaines. Ce sont deux dossiers consacrés à la ressource hydrique qui paraissent simultanément en Juillet dans les revues "Télérama" et "Science et Avenir"
  • Les ressorts des "Inconduites scientifiques"

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    "Les inconduites scientifiques sont bien plus communes qu'on veut bien l'admettre" dit un journaliste spécialiste de ces questions. Mais elles dépassent largement le cadre des fraudes avérées.