Libération - 22 juillet 2015 - Le transfert des dettes privées toxiques des 28 très grandes banques «systémiques» vers les Etats, lors de la dernière crise financière, explique les politiques de rigueur menées en Europe.
14 juillet 2015 - « 28 banques gouvernent le monde », accuse François Morin. Revenant sur le pouvoir de cet oligopole mondial, l’économiste propose d’abattre cette hydre et de redonner le pouvoir de la monnaie aux États.
9/07/2015 La Vie - François Morin, professeur d’économie émérite de l’université Toulouse 1, est venu présenter les scénarios alternatifs possibles face à la crise économique, financière et écologique actuelle à l’université d’été des Amis de La Vie.
France Info - 28/06/2015 - Après l’annonce d’un référendum sur les mesures d’austérités supplémentaires, la Grèce peut-elle sortir de la zone euro ? Le scénario semble en tout cas de plus en plus plausible...
Le Monde - 09 juin 2015 - L’économiste François Morin plaide pour une nette séparation entre les banques de dépôts et les banques d’investissement (L’Hydre mondiale, l’oligopole bancaire, de François Morin, Lux Editeur, 168 pages, 12 euros).
Paperjam - 21.03.2015 -Dans un contexte global d’explosion des dettes publiques et de croissance proche de zéro, François Morin, économiste et auteur de différents ouvrages dont «La grande saignée: contre le cataclysme financier à venir», de passage au Luxembourg, est venu expliquer les remèdes pour éviter le prochain krach.
Wort - 19 03 2015 - Professeur de sciences économiques à l’Université Toulouse I et ancien membre du Conseil général de la Banque de France, François Morin a dressé un constat particulièrement sombre lors d’une conférence donnée à Luxembourg à l’initiative d’Etika et d’Attac Luxembourg.
CADTM (avec Gabriel Colletis) - 15 février 2015 - En dépit de l’échec des négociations de l’Eurogroupe, les ponts entre la Grèce et ses créanciers ne sont pas rompus. Il est désormais plus que jamais urgent à présent de bien poser les termes des différents scénarios de négociation mais avant cela faisons quelques constats.