Yves GUILLERAULT
Paysan et journaliste, tous les deux en retraite active
A la campagne - France
Sa biographie
Une longue balade de vie sur la planète Terre à poursuivre mes rêves d’enfant autiste… et à les rattraper. Un kaléidoscope de rencontres exceptionnelles. Un patchwork de métiers exercés. Un rapport viscéral à la nature. Un refus obstiné de toute domination. Tout ça pour forger mes convictions d’anarco-écolo-humaniste.…
Son blog
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Le blog de Yves GUILLERAULT
Ses éditions
- suivie par 60 abonnés Abécédaire citoyen du Club 2024
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Ses billets de blog
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Trump le messie éteint les Lumières
Trump, une nouvelle religion ? © IoSonoUnaFotoCamera
L’Amérique, colonisée par les Européens, donc héritière des Lumières, vire sa cuti sous le régime autoritaire de l’ignorance. Tous les thermomètres scientifiques sont cassés, chercheurs et intellectuels qui n’adhèrent pas à son idéologie religio-fasciste sont crucifiés en place publique et des millions de personnes sont mises en danger de mort, privées de protection. À l’ouest tombe la nuit. -
Le fond de l’air devient irrespirable
Les pesticides pas dangereux pour la santé ? © PNASH
Entre 6 et 140 tonnes de pesticides sont en suspension chaque jour dans les nuages qui survolent notre beau pays. Une partie retombe avec la pluie, parfois loin de l’endroit où ils ont été pulvérisés. Certains de ces poisons sont interdits en France. Agriculture industrielle et lobby de l’agrochimie arrosent donc la population dans la plus grande discrétion : à la FNSEA, c’est silence de mort. -
Plus qu’un improbable blocage, une dissidence constructive
Comment se faire entendre ? © Asmund Bo
« Bloquons-tout » et mobilisation du 18 septembre n’arrêteront pas la marche corruptrice et violente du capitalisme, facteur principal de la décomposition de l’appareil politique professionnel et de l’avènement, sans doute prochain, d’une domination néofasciste. Plutôt que s’épuiser à affronter l’hydre, construisons des alternatives locales, cultivons des autonomies et au bout, l’émancipation. -
Camarade boomer, ta dette n’est pas la nôtre
Avant d’accuser boomers, chômeurs, cancéreux, etc. de dilapider l’argent public, M. Bayrou, ex-chef de gouvernement et boomer de son état, aurait été avisé de faire l’inventaire des décisions politiques prises ces cinq dernières décennies, de l’entrisme des plus grands capitalistes du pays et de la connivence qui les unis pour pomper sans vergogne les richesses des besogneux que nous sommes. -
Des revendications pour un 10 septembre… et après
Un mouvement social spontané n’a de chance de réussir que s’il est intransigeant dans ses revendications face aux pouvoirs politique et économique et qu’il est le ferment d’un autre monde quand l’actuel est en déliquescence. Quémander des aménagements au capitalisme et des gouttes de ruissellement aux riches ne sera qu’un sursis à exécution du peuple laborieux. Nous devons nous émanciper.
Ses articles d'édition
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Édition Abécédaire citoyen du Club 2024
A comme arbre : « Aux arbres, citoyens ! »
Vieillesse © Yves Guillerault
L’arbre est la sentinelle qui nous avertit des conséquences de nos inconséquences, des graves désordres qui vont inévitablement survenir. La civilisation humaine est comme ce chêne plus que centenaire, à l’apparence inébranlable et pourtant si vulnérable. L’homme connecté trébuche sur une panne informatique mondiale, le chêne dépérit sous les assauts du changement climatique. -
Édition Contre les privatisations, en défense des biens communs !
Capitalisme vs communs: deux mondes inconciliables
Définir les communs peut faire société, surtout lorsqu’ils sont vitaux comme la biodiversité. Les communs organisent la coopération et un accès égalitaire aux ressources de base. À l’opposé, le capitalisme incarne la compétition et l’accumulation personnelle pour la domination de la pyramide sociale. Deux mondes inconciliables quand il s’agit de, notamment, préserver notre biosphère. -
Édition Contre les privatisations, en défense des biens communs !
La terre en Communs
Défendre les communs, c'est notamment défendre l'Humanité dans son biotope. Au même titre qu'un air sain, une eau limpide, la terre nourricière doit faire l'objet d'un contrat social vital. C'est poser inévitablement la question de la propriété privée dès son article premier.