Ce n’est pas la jeunesse qui cherche à fuir la mixité et l’engagement, ce sont les classes favorisées, estime un collectif d’associations de jeunes dans une tribune au « Monde ». Il n’est pas juste de lui faire porter ces problématiques sociétales.
Publication du dossier « Recherche-action et écriture réflexive : la pratique innovante des espaces comme levier de transformation sociale » dans la revue Cahiers de l’action, 2018/2 N° 51-52, Injep.
L’ascension d’Alexandre Benalla est symptomatique de la logique du pouvoir. Il existe une continuité systémique jusqu’au plus haut niveau de l’État dans la manière propre à l’ultralibéralisme de légitimer la violence comme mode d’explication et de gestion des rapports sociaux. Comme le docteur Jekyll et M. Hyde, Macron et Benalla sont les deux faces d'un même personnage.
Les mouvements structurant leurs luttes autour de l'occupation populaire des espaces indiquent que ce sont les classes les plus démunies et ceux qui sont hors système qui sont le plus porteurs d’une créativité. Cette révolution populaire des "tiers espaces" n’est pas la révolution ultralibérale de la "start-up nation". Nous sommes dans un changement de nature dans notre manière de faire société.
L’ensemble du spectre médiatico-politique déplore un "saccage" du défilé du 1er mai à Paris, se focalisant sur les bris de verre, alors que personne ne semble relever que les manifestants du "cortège de tête" étaient presque aussi nombreux que le cortège syndical.
Les expériences relatées émergent en décalage par rapport aux structures instituées, dans des zones plus ou moins délaissées ou sans emprise, où les acteurs-chercheurs construisent leurs propres référentiels d’analyse et dispositifs d’action, à travers une pratique des espaces
« Je ne conçois un avenir (comment te l’expliquer ?) que dans une espèce de déséquilibre permanent de l’esprit, pour lequel la stabilité est non seulement un temps mort, mais une véritable mort. Trois tableaux chorégraphiques autour du théâtre de Bernard-Marie Koltès.