Au début de février, les responsables des polices de neuf pays de l’Union européenne ont assuré que la principale menace en Europe restait le terrorisme islamiste. Ils ont fait écho aux propos du procureur de la République de Paris François Molins.
Les pirates informatiques nord-coréens font couler beaucoup d’encre dans la presse ces derniers mois. Tandis que leurs techniques deviennent de plus en plus sophistiquées, Pyongyang continue d’intensifier les attaques.
Le 1er novembre, une nouvelle loi antiterroriste est entrée en vigueur pour mettre fin à l'état d'urgence décrété en novembre 2015 et reconduit à six reprises. Le texte, d’ailleurs, avait suscité des réactions mitigées du public et de vifs débats à l'Assemblée nationale.
Malgré la menace des sanctions, Varsovie reste inflexible face à l’Union Européenne et se montre déterminée à poursuivre son propre chemin pour renforcer ses positions en Europe, ce qui est confirmé par une série de déclarations des officiels polonais.
L’enquête réalisée par la Fondapol dans 26 pays a révélé que la crainte d'une immigration massive et incontrôlée, doublée d'une inquiétude croissante vis-à-vis de l'islam, est très répandue parmi les citoyens européens. Et leurs soucis ne sont pas dénués de fondement.
Le développement continu de l'énergie nucléaire et les relations plus tendues entre les puissances nucléaires rendent la menace nucléaire de plus en plus réelle. Mais si l'utilisation des armes nucléaires est interdite par la loi, un accident aux conséquences graves sur un des centrales européennes n'est pas si prévisible.