Talad Noi (petit marché) est un quartier de Bangkok qui raconte l'histoire récente de la capitale ; celle d'avant le boom immobilier et l'invasion du tourisme industriel. Deux facteurs qui ici, comme partout ailleurs, jettent les classes populaires à la rue ou du moins leur imposent des conditions de vie plus difficiles (prix, transports, urbanisme, perte des solidarités etc).
Talad Noi (petit marché) est un quartier de Bangkok qui raconte l'histoire récente de la capitale ; celle d'avant le boom immobilier et l'invasion du tourisme industriel. Deux facteurs qui ici, comme partout ailleurs, jettent les classes populaires à la rue en leur imposant des conditions de vie plus difficiles (prix, transports, urbanisme, perte des solidarités etc).
En ces temps de tempêtes sécuritaires annoncées et de raz de marée libéral annoncé comme incontournable, une sorte de vague à l'âme me saisit. C'est que l'arrivée d'une lame de fond me comblerait d'aise. Mais qu'on ne voie là aucune parabole, ici, il ne s'agit que de beautés à prendre pour ce qu'elles sont, c'est à dire des images éphémères. En voici quelques unes, made in Finistère
Talad Noi (petit marché) est un quartier de Bangkok qui raconte l'histoire récente de la capitale ; celle d'avant le boom immobilier et l'invasion du tourisme industriel. Deux facteurs qui ici, comme partout ailleurs, jettent les classes populaires à la rue ou du moins leur imposent des conditions de vie plus difficiles (prix, transports, urbanisme, perte des solidarités etc).
Talad Noi (petit marché) est un quartier de Bangkok qui raconte l'histoire récente de la capitale ; celle d'avant le boom immobilier et l'invasion du tourisme industriel. Deux facteurs qui ici, comme partout ailleurs, jettent les classes populaires à la rue en leur imposant des conditions de vie plus difficiles (prix, transports, urbanisme, perte des solidarités etc).
En ces temps de tempêtes sécuritaires annoncées et de raz de marée libéral annoncé comme incontournable, une sorte de vague à l'âme me saisit. C'est que l'arrivée d'une lame de fond me comblerait d'aise. Mais qu'on ne voie là aucune parabole, ici, il ne s'agit que de beautés à prendre pour ce qu'elles sont, c'est à dire des images éphémères. En voici quelques unes, made in Finistère