Ce que vous trouvez sur ce blog provient du site tybolt.fr (http://tybolt.fr/). Il y est indiqué en présentation que tout ce qui s'y trouve fait corpus. En l'occurrence un discours délivrant qu'il n'y…
a pour quiconque pas d'autre possibilité d'engagement que d'y mettre "du sien".
Oui, l'engagement est à prendre au pied de la lettre comme étant une mise en gage d'une part de soi-même. Et ce n'est que de l'impossible à pouvoir y couper que peut se fonder le discours que je dis être "inactuel". C'est à dire non soumis aux injonctions de La parole contemporaine. Ce qui s'illustrerait par exemple ici de soutenir la présentation d'une distance féconde par rapport aux alibis fournis ad nauseam par l'évidence de l'actualité. Fût-elle de qualité.
C'est le sujet soutenant cette espace - toujours menacé bien qu'incompressible - qu'il s'agira en permanence de tenter de repérer. Sans aucun doute en y mettant du votre... Pour en récupérer la mise.
L'image que je présente ci-dessus est un détail du tableau "Les bourgeois de Calais". Vous retrouverez cette toile ainsi qu'un lien menant au texte qui l'accompagne à cette adresse : http://tybolt.fr/les-bourgeois-de-calais-2/
Ce tableau a été réalisé pour répondre au fait que des policiers sont entré dans des écoles maternelles pour en repartir avec "des enfants de sans papiers". Mes deux fils aînés avaient alors 4 et 5 ans.
La silhouette en haut est une enfant morte dans l'un des camps de Sabra ou de Chatila.
En 1998 j'ai vu une exposition sur Tuol Sleng au parc de la Villette. Quelques années plus tard j'ai rencontré deux protagonistes de cette abomination. Je rends cela dans un texte et dans une courte vidéo.
Lhommalaise est une émission radio (RDWA 107.5).
Il s'y présente comment se décline l'empan allant de l'Homme pris dans le malaise que dit Freud à l'Homme contemporain qui frétille dans l'affichage sans fard de son "à l'aise". Lhommalaise est ce néologisme qui de l’un à l’Autre, risque le va tout de son assise par l’équivoque de sa portée".
Ce texte de 2015 met en lien l'album de Tintin "Le temple du soleil", le dictateur Guatémaltèque Efrain Rios Montt et l'affaire Bygmalion par le biais de ce que Jamel Debbouze, dans l'un de ses sketchs, présentait sous la forme d'un match de football opposant les "J'ai rien fait" contre les "C'est pas moi".
Ce texte est une réflexion au sujet de l'importance, voire de la primauté, accordée aux nombres actuellement dans la moindre des politiques menées dans quelque champ que ce soit, y compris celui du langage. Il s'y évoque l'expression "un certain nombre de...", laquelle se fonde sur la vacuité de son ressort, étayant pourtant la moindre pensée "France Culturienne". Entre autres...
L’œil du cyclone est le lieu d'un temps unique où l'opportunité s'offre à l'Homme de reconnaitre les empreintes de ses propres pas situées sur un chemin qu’il n’a pas encore parcouru.
L'idée de ce texte écrit en 2015 est étonnamment peu répandue, pour ne pas dire pas du tout. Un "étonnamment" à prendre bien entendu sur le registre de l'ironie. Cette idée est que les femmes traversées par la chirurgie esthétique de confort portent un voile définitif. Un voile voilé soutenu par les mêmes imaginaires dont on pare celui dont on parle ici sans fard.