Qui peut peu,peut

Le chef de l’état en fustigeant les électeurs de gauche qui lui ont apporté leur soutien montre son vrai visage.

Macron arrive au bout d’une logique de communication qui ne fait plus illusion auprès de la population. Le roi est nu, le bilan calamiteux de son mandat apparaît au grand jour face à la crise qui gagne de jour en jour. Nul besoin de plagier Samuel Beckett pour déclarer : Macron fin de partie.

L’approche technique, technocratique et gestionnaire voulue par la finance et l’actionnariat recouvre tout, notamment la dimension humaine et ce faisant, rend difficile toute alternative politique. Les ultras libéraux de « Renaissance » ont absorbé l’essentiel des médias qui ne se cachent même plus d’être exclusivement à leur service.

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