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[Archive] Texte co-signé par l'A3D (Association des avocats pour la défense des droits des détenus), l’Observatoire International des Prisons (OIP), le Syndicat des Avocats de France (SAF), La Ligue des Droits de l’Homme, l’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture), L’Envolée.
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Le 4 janvier dernier, par une 'note de la direction' placardée dans toutes les prisons, l’administration pénitentiaire (AP) a interdit la diffusion du n° 52 du journal L’Envolée aux prisonnier·e·s abonné·e·s ; en même temps, elle a porté plainte pour diffamation et injure.
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En plein confinement, nous avons largement manifesté contre les violences policières. La prison tue, elle aussi. Ce samedi 9 janvier aura lieu à Brignais (69) une marche en hommage à Idir, mort au mitard de Lyon-Corbas. L'occasion pour l'Envolée de proposer un article contre les violences pénitentiaires, en solidarité avec les proches qui luttent pour faire la lumière sur les morts en détention.
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À partir du 16 novembre, cinq personnes devaient comparaître pendant trois semaines devant la cour d'assises de Pontoise. Les faits qui leur sont reprochés se seraient déroulés au cours des révoltes qui ont éclaté suite à la mort d'Adama Traoré dans les mains des gendarmes fin juillet 2016.
Contribution contre une vengeance d’État programmée, malgré le report fraîchement annoncé du procès.
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Depuis le 11 mai, on entend que les parloirs sont rétablis pourtant le même mépris est subi par les prisonnier.es - et par nous-mêmes qui les visitons - depuis le début de cette « gestion » sécuritaire plus que sanitaire. La suppression des parloirs était une mesure punitive et infantilisante ; leur pseudo rétablissement l’est tout autant. Et nous refusons que cela dure !
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Dans cette lettre à l'attention des journalistes, les amis de JC Merlet reviennent sur les raisons du maintien en détention de M. Merlet.
A ce jour la Ligue des droits de l'homme (LDH), L'Envolée et le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) ont fait savoir à la direction du CD de Nantes qu'ils suivent cette affaire de près.
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Nous nous permettons de penser que les diverses plaintes que M. Merlet, actuellement détenu au CD de Nantes, a déposé contre des membres de l’administration pénitentiaire (AP) sont la cause de son maintien en détention, et d’un certain acharnement de l'AP et de la justice à son encontre.
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Depuis la suppression des parloirs le 17 mars, les familles et proches de prisonniers et prisonnières vivent dans l’inquiétude. Réunis grâce aux réseaux sociaux, plus de 150 mères, pères, femmes, maris, conjoint·e·s, sœurs, frères, ami·e·s de prisonniers et prisonnières enfermé·e·s dans plus de 50 établissements français ont écrit à la ministre de la justice et des tribunaux.
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POURQUOI LA PENITENTIAIRE ET LA JUSTICE NE VEULENT-ELLES PAS SUSPENDRE LA PEINE DE JEAN-CHRISTOPHE ?
Communiqué de L’Envolée le 26 avril 2020 pour une suspension de peine immédiate de Jean-Christophe Merlet.
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Depuis 2017 l'état de santé de M. Jean-Christophe Merlet est déclaré incompatible avec la détention. Aujourd'hui Jean-Christophe le dit : il est en train de mourir. Privé de parloir et de soin par l'épidémie en cours, son état se dégrade. Sa compagne alerte sur l'urgence qu'il y a de le libérer.
NOUS DEMANDONS LA LIBERATION POUR RAISON MEDICALE DE M. MERLET