Libéractif

Concepteur en Economie Politique, sachant mettre une loi de finances en équilibre tout en dotant BIEN le Service Public et le Service Social

Cogolin - France

Sa biographie
Jack Maillard m’a demandé de le présenter sur Médiapart tel qu’il peut apparaître. Ce qui me vient immédiatement à l’esprit : Comme dit Brassens c’est un modeste.  Avant qu’il ne réponde répondre à sa façon,  je dirais que c’est un Homme libre, indépendant, attaché à aucune chapelle et n’acceptant aucun1 dogme. N’ayant, malgré mes recherches rencontré aucun autre concepteur en Economie politique, Il est ainsi le seul, es qualité, que je connaisse.   Décortiqueur impitoyable des théories, des systèmes politiques et des religions il garde les pieds sur terre, même s’il a la tête dans les étoiles. C’est un doux qui refuse les compromissions. Son obsession c’est le geste concret et complet qui donne du sens à la vie car sans geste complet qui la fait vivre, la « sophia » n’existe pas et le « logos » devient, dit-il, une semence de mort. Une théorie sans geste est pour lui mortifère. Il attache l’obligation de résultats à l’obligation de moyens. En matière économique il dénonce le simplisme des dogmes enseignés. Il adore la simplicité fondée sur le concret exhaustif. Avec sa découverte de l’Inoppression Active, il met ad hoc le point sur le i  Inattachable par qui que ce soit, seulement par les idées de libération et par l’étude des moyens concrets de mise en place de la liberté, il est pour moi LE philosophe actuel qui ne va pas dissoudre la réalité dans la complexité. Pour son confort, il a choisi d’être altruiste, ce qui permet, dit-il, de garder une éternelle jeunesse. Je le considère comme le premier philosophe sociologue humaniste concret du 20ième siècle. C’est un doux qui refuse la compromission quelle qu'elle soit. C’est un homme de compassion qui s’engage quand quelqu’un a besoin d’aide. Il m’émeut avec son esprit boy-scout, qui critique l’article 7 de la loi scoute relatif à l’obéissance. Je crois que sa référence est Jésus qu’il ne considère pas Dieu mais comme un philosophe qu’il dit être son modèle, le seul philosophe et sociologue ( !!) complet qui soit altruiste contrairement à tous les autres qui ont affiché leur égocentrisme.  A la solitude, je crois qu'il préfère l’indépendance. Son indépendance semble être pour lui le meilleur moyen d’être avec tout le monde, sans discrimination. S’il aime et recherche la solitude avec la nature, le désert, la mer qui sont, m’a-t-il confié, les lieux les plus parlants de Dieu, paysages mouvants où il compose divinement à l’Infini, il me semble qu’il  y trouve l’acte créateur de l’autre, modeste comme lui sur le chemin de la vie. Une autre solitude rencontrée, ce semble être pour lui le lien sensé avec l’éternité. Ce faisant, ceci étant, sauf s’il s’agit de Liberté et de Dignité humaines à mettre en place, Il est difficile à apprivoiser.   Avec sa permission et comme il aime par dessus tout la franchise et la transparence, je le considère comme un lent, un terrien avec de la terre qui colle aux sabots…, avec la révolte dans le cœur quand se profile l’injustice. Face à un autre « solitaire » il est dans son élément. Son humour est anglais et pince sans rire et je le vois rebondir sur le mot en disant qu’avec l’autre solitaire il aime à faire des vers, en combinant à l’infini les vers à l’endroit et les rimes à l’envers pour finir avec un bon verre « devin ». Quand il est ainsi parti, il n’y a plus moyen de l’arrêter car son imagination est vite vagabonde.   Pour faire briller ses yeux, il faut lui parler de politique et d’économie, avec les chiffres nécessaires et l’intelligence d’un cœur altruiste, ce qu’il appelle «  intelligemment ». Il redevient alors le prof passionné; il a le don de m’inspirer.  En lui demandant d’accepter tels quels mes propos, je lui laisse le soin de se présenter lui même son cursus. Peut-être devrons-nous être patients !   Note de Jack Maillard : C’est vrai que la prière scoute est pour moi fondamentale. Il y a aussi une autre chose importante : les Etres qui nous enrichissent le plus, ce sont les inventeurs, les vrais autodidactes. Si l’homme qui imite l’homme est un singe, le singe que nous sommes tous un peu, peut avec un peu audace devenir l’Homme de Rudyard Kipling ! 
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