Saint-Denis, Vienne, Firminy... Les rencontres (nous en avons compté plus de soixante autour de ce livre, partout en France) continuent (voir le programme complet ici).
Ce qui surgit de tous ces échanges, c'est combien Mai 68 a représenté une aspiration à l’émancipation, encore tellement vive qu'elle est redoutée aujourd'hui par tous les courants maréchalistes qui, hier soir, appelaient à "débrancher 68", à faire la peau à son héritage, et qui invoquaient la résurrection intellectuelle du conservatisme.
Preuve que l'événement est loin d'être froid. Et qu'il travaille encore le présent.
Il est encore temps de nous écrire ! Vos témoignages peuvent toujours nous être envoyés à l’adresse suivante : mai68parceuxquilontfait@editionsatelier.com
Cinq nouveaux témoignages cette semaine :
- « M., vous n’êtes pas du genre de personnes à rester longtemps chez nous » , par Joseph Guiheneuf, 20 ans et 6 mois, préparateur de fabrication, Flers (Orne)
- « Ce souvenir champêtre reste bizarrement pour moi l’un des plus lumineux de mai », par Dominique Greusard, dit Dominique Sarr, 20 ans, en 3e année à la faculté de droit de l’Université Claude-Bernard, Lyon (Rhône)
- « Mon père a déchiré sa carte de la CGT à ce moment-là », par Danielle Lamothe née Rabaté, 15 ans, en 2nde au lycée Corvisart, Paris (13e)
- « Nous étions derrière les grilles de Billancourt et je me sentais un peu honteuse et désespérée », par Dan Ferrand Bechmann, étudiante en sociologie à Nanterre (Hauts-de-Seine)
- « Devant la maison des gardiens de la paix les manifestants sifflaient “l’Internationale” », par Yves Forestier, 33 ans, ingénieur, Paris (15e)
N'hésitez pas à venir rencontrer les auteurs et éditeurs de l'ouvrage lors des nombreuses rencontres organisées autour de ce livre partout en France dans les mois prochains.
Pour commander le livre, c'est ici.
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