Quand des élus de "gauche" veulent faire disparaître des associations vouées au soutien des plus précaires ! Reportez-vous à mon billet de blog précédent. Merci de signer et de partager la pétition pour sauver Mamama. Urgence absolue.
Ces élus du département le plus pauvre de l'Hexagone s'attaque brusquement – après l'avoir soutenue – à une association vouée à sauver des bébés en précarité alimentaire. Je vous relaie ici l'entretien avec l'association MaMaMa paru dans le Blog de Saint-Denis. Une situation absolument incompréhensible.
Monsieur Macron, vous avez jusqu'à 19h ce dimanche pour respecter votre promesse faite ce jeudi 21 avril, lorsque vous étiez en campagne à Saint-Denis, concernant l'effacement des sanctions iniques imposées à 6 enseignant.e.s de l'école Pasteur.
Passé ce délai, je considérerai que vous ne valez pas mieux que votre adversaire et je m'abstiendrai de voter pour vous.
Je vous relaie ici un appel des travailleurs du service public de la ville de Saint-Denis, où le nouveau maire Mathieu Hanotin (PS) se permet des largesses personnelles, mais attaque les acquis sociaux de ceux qu'on applaudissait aux fenêtres, tous employés de services publics. Pour le pique-nique solidaire de ce jour, il est trop tard. Mais suivez le mouvement au fil des jours.
Je relaie ici l'appel à manifester de "SôS Soutien ô Sans papier".
MANIFESTEZ DEVANT TOUS LES CENTRES DE RÉTENTION ADMINISTRATIVE LE SAMEDI 5 SEPTEMBRE 14h
Dans plusieurs camps de rétention (Mesnil-Amelot, Rennes, Nîmes, Marseille Le Canet, Vincennes, Lille Lesquin...) des retenus sont en GRÈVE DE LA FAIM ! TENTATIVES DE SUICIDE quasi QUOTIDIENNES !
Je n'irai pas plus loin que ce "chapô".
Mon souhait, je le hurle bien haut ... Pour que "le jour d'après" ne devienne pas "le jour d'après, on rase gratis"...
"Les policiers interviennent actuellement au Mesnil Amelot. Les sans papiers résistent pacifiquement aux matraques et au gazage. Nos contacts sont menottés et les téléphones sont saisis. Nous disposons d'enregistrements audio grâce aux sans papiers."
REVOLTE EN COURS AU CRA DU MESNIL AMELOT
"Ils ne respectent pas le droit des gens, pas de mesures sanitaires dignes et quand tu dis quelque chose les policiers te frappent c'est pas humain !
Que les journalistes nous appellent ! Là ! Maintenant !"