
Maxime Chaix
Journaliste indépendant, traducteur de Peter Dale Scott, être humain engagé
France
Sa biographie
Diplômé d’un Master 2 « Théorie et pratique des droits de l’Homme » à la Faculté de Droit de Grenoble, je suis traducteur et journaliste indépendant, spécialisé dans les domaines du renseignement, des opérations clandestines, des questions stratégiques, de la criminalité financière et du terrorisme1…
global. En 2015, j’ai lancé mon propre site afin de regrouper mes différents articles et traductions. Depuis 2014, j’ai notamment écrit pour dedefensa.org, Paris Match, et le Club de Mediapart. Déplorant le soutien irréfléchi de la majorité des médias français pour les interventions militaires des puissances de l’OTAN – ce que je considère comme préjudiciable au débat démocratique et à la sécurité collective –, je défends un journalisme à l’anglo-saxonne, résolument critique envers les excès militaires occidentaux à l’étranger. Je m’inspire donc de Glenn Greenwald, Trevor Timm, John Pilger, Nafeez Ahmed, Gareth Porter, Mehdi Hasan, Jeremy Scahill et Peter Dale Scott, dont je suis le principal traducteur francophone.
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Ses billets de blog
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Ce lucratif chaos moyen-oriental : l’exemple de Raytheon
Si la guerre perpétuelle au Moyen-Orient provoque des drames humains à répétition, elle dope également la valeur boursière des multinationales de l'armement, qui n'ont aucun intérêt à ce que la paix s'impose dans cette région. À la suite de la frappe-surprise de Donald Trump en Syrie, étudions l'exemple parlant de la firme Raytheon. -
Daech, un “atout stratégique” sous l'administration Obama ?
Dans son dernier livre Shadow Wars, à travers lequel il analyse les causes profondes des Printemps arabes et de leurs échecs, le docteur Christopher Davidson soutient avec des arguments crédibles que Daech n’était pas considéré comme un ennemi par l’administration Obama et ses principaux alliés, mais comme un turbulent « atout stratégique ». -
Tulsi Gabbard témoigne contre la guerre secrète anti-Assad
« J’ai rencontré ces femmes admirables, qui viennent de Barzi. La plupart d’entre elles ont des maris ou des membres de leurs familles qui combattent au sein d’al-Nosra/al-Qaïda, ou avec l’Armée arabe syrienne. Lorsqu’elles viennent dans ce foyer municipal, elles mettent tout cela de côté, elles se font de nou-veaux amis, et elles apprennent différentes tâches telles que la couture, préparant leur avenir. Elles ne se connaissaient pas avant de fréquenter ce foyer, et aujourd’hui elles sont comme des “sœurs” qui partagent leurs joies et leurs peines. »
En exclusivité, voici ma traduction d’un important témoignage de Tulsi Gabbard, une respectable parlementaire américaine qui revient d’une mission d’information secrète en Syrie. Depuis l’automne 2015, cette représentante démocrate a courageusement dénoncé la guerre secrète de la CIA et de ses alliés contre le gouvernement syrien. -
L’eau sale dans les “guerres propres” occidentales
De l'Irak à la Yougoslavie, de l'Afghanistan à la Libye, du Yémen à la Syrie, les guerres ouvertes ou secrètes de l'Occident ont impliqué le ciblage militaire systématique des infrastructures fournissant l'eau potable aux populations. Des millions de personnes en ont été durement affectées. Une plongée dérangeante dans les méandres des « guerres propres » des puissances occidentales. -
Depuis Reagan, le “néoradicalisme” de Washington