Le régime déploie énormément d’efforts pour empêcher qu’au Venezuela on parle de la tragédie humaine qui se déroule dans le secteur de la santé, ce qui fermerait les portes aux financements internationaux en la matière
Depuis le début de l'année, des milliers d'enfants et de jeunes ont abandonné les salles de classe dans les écoles, les collèges et les universités au Venezuela, en raison de nombreux facteurs liés à la crise économique, ce qui a déclenché des alarmes dans le secteur de l'éducation dont plusieurs indicateurs se trouvent dans le rouge.
Trois membres de plusieurs ONG qui travaillent pour les Droits des enfants au Venezuela ont lancé un appel au régime de sortir du débat politique le sujet de la crise humanitaire qui touche les enfant, et d’en faire une priorité citoyenne.
Au delà de la solennité et la magnificence avec lesquelles les leaders et la militance chaviste font référence au legs de feu Hugo Chávez, la realité nous montre un pays en ruines. Un territoire maintenant connu pour sa longue liste de registres négatifs, qui servent pour identifier le Venezuela de manière international combla nation la plus corrompue du continent, ...
Expulsions, confiscation de matériel, censure… La presse internationale doit faire face à de nombreux obstacles pour réaliser son travail d’information au Venezuela. Reporters sans frontières (RSF) appelle le gouvernement de Nicolas Maduro à ne pas obstruer la mission des journalistes.
C’est avec une image choc et un hashtag #SOSPresse lancé sur les réseaux sociaux, que RSF souhaite attirer l’attention du public sur l’intensification de la répression contre la presse vénézuélienne et la censure qui s’abat sur les journalistes dans tout le pays.
A l’occasion de la journée du journaliste au Vénézuela ce mardi 27 juin, Reporters sans Frontières (RSF) dénonce l’intensification des violences contre la presse dans un contexte politique extrêmement tendu.
Pendant que la crise politique s’enlise et que les manifestations se succèdent dans le pays, les forces de l’ordre et les groupes paramilitaires vénézuéliens ont intensifié la répression pour réduire la presse au silence. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une grave entreprise de muselage de la liberté d’information et d’expression.