Partager. Ce blogue en sera-t-il image ? Ce chapitre oublié, la recherche. Pourquoi ne ferait-elle la Une ? Le langage de la science n'est-il le plus universel ? Soyons un, soyons mille, chaque jour, à…
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Les mesures de biomarqueurs indiquent un dysfonctionnement neuronal et une implication systémique chez les patients hospitalisés atteints de COVID-19. La détection 3 semaines après l’apparition des symptômes chez un patient non hospitalisé suggère qu’une stimulation antigénique prolongée, ou éventuellement une infection latente, peut survenir.
Mediapart n’est pas un journal médical. La souffrance ne fait recette.
Alors, ce regard complémentaire.
La journaliste JENNIFER COUZIN-FRANKEL l'écrivait le 31 JUIL 2020
Antoine Flahault (Director of the Institute of Global Health Campus Biotech - Genève) : « Soyons clairs, la communication sur le mode de transmission du coronavirus est un échec cuisant, une faillite collective. Le SARSCoV2 se transmet quasi-exclusivement par aérosols… Il ,nous faut d’urgence des normes contraignantes vis-à-vis de la qualité de l’air,… et au port du masque… »
Comité IEEE sur l'homme et les rayonnements – COMAR: Problèmes de santé et de sécurité concernant l'exposition du grand public à l'énergie électromagnétique des réseaux de communications sans fil 5G
Un obstacle majeur à la lutte contre la pandémie de 2019-nCoV est la disponibilité et l'accessibilité à ces méthodes de diagnostic pour les populations du monde entier.
Dans cette optique, le Consortium mondial des chercheurs en chimio-sensorat a lancé une étude scientifique mondiale pour évaluer les relations possibles entre les maladies respiratoires et leurs effets sur l'odorat et le goût.
Une nombreuse équipe de chercheurs dont les membres sont affiliés à une multitude d'institutions en France a identifié ce qu'ils estiment être une caractéristique des patients atteints de COVID-19 sévère.