Nous vivons une période inédite et tout le monde s’accorde à penser que l’après-crise ne sera pas un retour à l’avant Coronavirus. Entreprises et individus vont être amenés à repenser leurs façons de travailler, qu’il s’agisse de la localisation des usines ou de celle, à distance, de certains collaborateurs. La généralisation du télétravail exige de nouveaux standards.
Sous Sarkozy, Hollande ou Macron, les dépenses de santé n'ont cessé de baisser alors que d'autres prônaient des politiques alternatives moins austéritaires. Beaucoup d'entre eux se sont déchirés en 2017 puis se sont plus ou moins retirés de la politique.
C'est avec L'Histoire qu'ils ont maintenant rendez-vous...
Je suis choqué d’avoir vu hier les retraités défiler dans la rue. J’en serai pourtant dans quelques années mais je ne me reconnais pas dans leurs discours égoïstes et aigris. Cela fait près d’un an que le nouveau pouvoir est en place, les réformes vont bon train malgré de sérieux irritants ...
La perspective de dommages et intérêts importants accordés à un salarié licencié par le tribunal des prud’hommes constitue pour une TPE ou un PME un risque financier conséquent. Ce risque serait de nature à freiner l’embauche. Le prétexte invoqué par le gouvernement pour cette barémisation est une limitation de ce risque financier...
Socialistes légitimistes et socialistes frondeurs ont été balayés Dimanche dernier par une même vague. Durant le quinquennat Hollande, le Parti Socialiste et sa direction nationale ont été incapables de gérer la situation et de recadrer un gouvernement qui s'éloignait des promesses sur lesquelles il avait été élu.
Emmanuel Macron est devenu le favori de la présidentielle. Il a pourtant été l'un des principaux inspirateurs du président, de sa politique économique et fiscale qui a échoué. Comment peut-il alors prétendre incarner l'anti-système et le renouveau ? Il est temps de ce remémorer qui fut quoi depuis 2012...
En 2012, François Hollande a été élu sur la base du discours du Bourget et des 60 engagements qui s’en sont suivis. En 18 mois, il a méthodiquement tourné le dos à son programme. Emmanuel Macron est le principal inspirateur de revirement, qui est la cause principale des quatre cuisantes défaites électorales de 2014/2015 et du basculement vers le FN des électeurs les plus modestes.
Dès la rentrée 2012 nous avons constaté des premiers écarts entre la réalité de l'action gouvernementale et le programme du candidat, et avons été interpellés par le "bashing anti-Hollande", tintamarre médiatique déclenché par l'UMP dès fin août à propos de la Syrie. Nous avons émis au sein du PS des premières alertes et depuis, sans fin, nous avons sans relâche insisté sur la nécessité de tenir bon sur un certain nombre de chantiers essentiels